Un trophée d’arts pour briser le mur séparant les écoles

Voici qu’est sur le point de débuter l’évènement majeur des Art Vengers. Le trophée des arts de Barcelone réunit à partir de demain 10 écoles autour d’une compétition composée de 7 épreuves dans lesquelles les équipes de chaque école représentée devront montrer leur virtuosité et leur créativité, le tout dans le cadre fixé par le temps et le thème de l’année, « Beyond the wall ».

Mais quelles sont ces épreuves dont on parle tant sans les connaître ? Sept épreuves que sont musique, théâtre classique, théâtre d’impro, danse, graphisme, court métrage, et enfin création libre sont là pour représenter toutes les formes d’art et de création à la portée des étudiants.  Chaque groupe aura donc la possibilité de montrer la maîtrise de son art et de sa création ; mais gare à la frontière établie par le temps! Sept épreuves. Autant de disciplines avec ses règles propres et son degré de liberté ou d’indépendance vis-à-vis de toute source d’inspiration existante. Si les musiciens peuvent oser présenter des œuvres magistrales devant le jury, les danseurs doivent créer par leur propre moyen une chorégraphie ! Difficulté équivalente pour des épreuves aux codes et critères de réussite si différents.

Où pouvait-on chercher ailleurs que dans l’art un moyen pour briser la cloison qui empêche les étudiants de chaque école de se rencontrer ? Les participants ne s’y trompent pas. De Rouen jusqu’à Marseille en passant par Nancy ou Bordeaux, on se presse pour y envoyer ses champions et ramener le trophée chez soi, mais aussi et surtout tant de bons souvenirs ! Chaque école montre avec sa médiatisation de l’évènement, leur teaser qu’ils ne viennent pas en touriste ni en déprimés anonymes car le prestigieux trophée… de l’ambiance, est une récompense non négligée par les équipes et leurs supporters. Parmi les 350 participants de cette rencontre, une école peut montrer que c’est elle l’école de l’ambiance.

Les organisateurs non plus ne sont pas passés à côté de l’opportunité du TDA ! L’organisation de sa huitième édition a échu cette année aux Art Vengers qui ont relevé le défi imposé par cet évènement attendu des quatre coins de l’hexagone ! Ils ont accepté la mission d’améliorer la communication, trouver un thème contrastant avec celui de l’édition précédente, augmenter la taille de l’évènement et enfin imposer définitivement les règles de la compétition.

Mais dans cette lutte pour la possession de récompenses, tout n’est pas que confrontation puisque nos 350 esthètes et praticiens pourront profiter de l’ambiance caliente/chill des soirées et du soleil barcelonais. Il n’y a qu’à voir la programmation pour deviner que nos compères français sauront profiter de l’ambiance de la ville et de l’occasion unique représentée par ce week-end artistique à l’extrême ! La ville des prodiges comme l’appelait E. Mendoza ne manquera pas d’apparaître en toile de fond de ce rassemblement.

Le TDA a résolument pris de l’ampleur depuis 2007, année de sa création, grâce aux BDAs toulousains successifs. A présent on vient encore d’autres régions comme de Bretagne et même depuis les côtes du Maroc pour vouloir participer ! Le défi est lancé au bureau futur. Barcelone les mettra-t-il dos au mur ? Le printemps prochain nous donnera la réponse !

Derby de la Garonne : time for revenge or not ?

Quatre mois déjà se sont écoulés depuis la première phase du Derby de la Garonne. Tant attendue et tant préparée, la phase retour, qui s’est déroulée à la maison, a montré des Toulousains survoltés et prêts à tout pour essuyer la défaite de l’aller et faire trembler la Kedge aux folles. Pour ceux qui souhaitent revivre ces instants, TBS press revient pour vous sur le match des Lapine’Up, de la Pineteam et des Baltringues.

Les Lapine’Up face aux  Bitches : le match de la surprise

C’est avec le volley-ball féminin que commence cette phase retour du Derby de la Garonne. Si les premiers points sont en faveur des Bitches, les lapines réussissent à imposer leur jeu et décrochent le premier temps mort technique. Réceptions propres,  agressivité à l’attaque et présence en défense semblent affoler l’équipe bordelaise qui se doit de procéder à un changement de joueuses.
Toujours dans une dynamique de jeu impeccable, les lapines décrochent le deuxième temps mort technique et confortent une avance de six points. Camille Crépin explosent la ligne, point faible des Bitches, tandis qu’Aurélie Jamin fait une série de services capitales. Les lapines mènent alors 21-17. Mais, malgré cette avance de 4 points, les lapines voient leurs bitches d’adversaires mener de 22-21. La faute à un défaut de communication, des réceptions ne facilitant pas le travail de la passeuse, Axelle Jacquinet,  et trop de balles cadeaux données à l’équipe adverse. Après dix points joués au coude à coude, les lapines perdent de peu le premier set à 26-28.
Le deuxième set, montre une configuration similaire. Les lapines mènent de 8 points en affichant un beau 17-9. Mais, les services flottants de la n°1 bordelaise et les attaques de la n°6 semblent perturber nos lapines, pourtant si bien parties. Le set ne semble plus finir entre les balles de match, les balles de set et les égalisations. Finalement, c’est après un match très disputé que les Bitches s’imposent 25-23. Malgré cette défaite 2 sets à 0 , les lapines ont montré un meilleur niveau de jeu qu’à l’aller et ont, tout de même, fait douté la Kedge aux Bitches.

La Pineteam face aux Fistons : la confrontation musclée

Le second match indoor de la journée est celui des basketteurs. Tandis que les Fistons impubères prient pour que la Pineteam ne leur inflige une bonne correction, nos toulousains s’échauffent à coups de muscles et de dunks.
L’arbitre siffle le début du match, la tension monte. En seulement 3 min de jeu, Les lapins inscrivent les deux premiers paniers à deux points. Et, ce n’est qu’après un lancer franc que les Bordelais font gagner 2 points à Kedge. Mais, la Pineteam ne l’entend pas de cette oreille et une contre-attaque fulgurante du n°5 permet  aux toulousains de mener 6-2 à la 6e minute de jeu. C’est finalement la technique des bordelais qui leur fera prendre leur avance à la fin du premier quart temps et de mener 15 à 10.
Dès le début du 2e quart-temps, le n°7 toulousain, fraîchement rentré, inscrit son 1er panier et permet à la Pineteam de n’être qu’à trois points de son adversaire. L’écart se resserre de plus en plus et la pression est à son comble. L’arbitre de l’Université Paul Sabatier n’hésite pas à calmer les nerfs de certains joueurs. C’est face à une équipe bordelaise qui peine à marquer que la Pineteam impose ses règles et mène 19-17 à la 8e min de jeu. Mais, les Fistons de Kedge profitent de ce moment d’euphorie toulousaine, pour reprendre le pas. Comme pour le 1er quart temps, les bordelais montrent une légère avance à 25-20.
Place au troisième quart temps ! Les bordelais attaquent immédiatement et inscrivent leur 28e but grâce à un panier à trois points. Les coudes à coudes s’enchaînent et les basketteurs se battent jusqu’au sol. L’Armad As s’enflamme, mais rien n’est joué. La Pineteam rattrape progressivement son adversaire et n’est plus qu’à 4 points de celui-ci, avec un doublé du n°5 toulousain. Mais, les bordelais gardent cette avance là jusqu’à la fin du troisième quart temps : 38-33.
Malheureusement, les dix dernières minutes du match creusent davantage l’écart entre les deux concurrents. Les Fistons commencent fort avec un panier à trois points et une contre-attaque concluante. 11 points séparent désormais les deux équipes. Mais, du côté des basketteurs toulousains et de leurs supporters, on ne lâche rien. La Pineteam profitent des occasions manquées bordelaises pour inscrire à leur tour un magnifique trois points et un panier décisif par la suite. 44-50 à la 6e minute de jeu. Face à l’effervescence toulousaine, les Fistons à papa prennent un temps mort. Et, cette tactique paiera. Les bordelais enchaînent les paniers face à une équipe toulousaine qui peine à diminuer l’écart. Ainsi, la Pineteam s’incline 47-60 face à Kedge mais n’a pas démérité.

Les Baltringues face aux Hardeux : le match du suspens

Et maintenant, place au handball ! Les Baltringues pourront-ils contrairement aux volleyeuses et aux basketteurs essuyer la défaite de l’aller ? Nous offriront-ils des tirs à la Narcisse ou à la Karabatic ?
L’arbitre siffle le coup d’envoi de ce troisième match indoor du Derby retour et les buts s’enchaînent du côté bordelais. Le gardien kedgeur est survolté et semble ne vouloir laisser passer aucun but. Et sa défense paiera puisqu’à six minutes de jeu, les bordelais mènent 5-1. Le stress et les nerfs prennent l’impasse sur les handballeurs et c’est un festival de cartons jaunes qui s’abat sur les deux équipes. Mais, les Baltringues font douter les Hardeux suite à un triplé phénoménal du n°13 toulousain et à un but monumental de Lucas Krumbholz.  A seulement quinze minutes de jeu et un écart de deux points entre les deux camps, le n°12 bordelais multiplient les fautes et les manques de fair play. Il prend une exclusion de deux minutes et se fait huer par des supporters toulousains décidés à encourager jusqu’au bout les Baltringues. Et, Lucas Krumbholz l’entend ainsi en inscrivant le 12e puis le 13e but enflammés de Toulouse. Les bordelais tremblent et préfèrent prendre un temps mort pour casser la bonne dynamique de jeu des Baltringues. Mais, ils n’avaient pas imaginé une remontée fulgurante des toulousains qui alignent tirs foudroyants et parades du gardien et reviennent à égalité 19-19 à la fin de la première mi-temps.
La seconde partie de jeu est alors décisive pour les deux équipes. Si les kedgeurs fouineurs croient conforter une avance de deux points, Lucas et Fabio ruinent leurs espérances et permettent une autre égalisation à 22-22 à 5 minutes de jeu. Affolés, les Hardeux ne trouvent plus le chemin du but et voient même leur contre-attaque réduite à néant par le n°6 toulousain. Les Baltringues imposent dès lors leurs règles et mènent leurs adversaires 30 à 27 après 13 minutes de jeu. Nos handballeurs se donnent corps et âmes pour faire trembler la Kedge aux folles. En infligeant le 31e coup dur aux bordelais, Lukas Krumblhoz en ressort avec une crampe. Le jeu s’arrête et le public toulousain retient son souffle. Les bordelais en profitent pour réduire l’écart avec leurs adversaires et décrochent une égalité à 33-33 à la 18e minute de jeu.  Mais, le gardien toulousain s’est bien décidé à agacer les Hardeux teigneux qui n’inscrivent plus aucun but. A la 26e minute de jeu, les Baltringues mène 39-37. Les bordelais ne s’avouent pourtant pas vaincus et reviennent à un point des handballeurs toulousains. Les Baltringues, plus motivés que jamais, profitent de l’effectif réduit des Hardeux pour inscrire les deux buts gagnants. Au bonheur de tous, les Baltringues s’imposent 41 à 39 et mettent ainsi le feu au Complexe Daniel Faucher. Un match, dont le suspens s’est maintenu jusqu’à la dernière minute, qui a permis aux Baltringues de prendre leur revanche et de faire taire la Kedge aux folles ! Merci Baltringues !
Et voilà, TBS press espère vous avoir fait revivre ces instants magiques de la phase retour du Derby de la Garonne et tient à féliciter les sportifs, les supporters et le BDS pour cette belle journée ! Vivement le prochain Derby !
T…B…S, TBS aller aller, TBS aller aller !

ESCadrille élue MOST  INTERNATIONAL JUNIOR-ENTERPRISE 2014, interview Camille LE GAL

ESCadrille élue MOST INTERNATIONAL JUNIOR-ENTERPRISE 2014, interview Camille LE GAL

ESCadrille a été élue MOST  INTERNATIONAL JUNIOR-ENTERPRISE 2014, en quoi consiste ce Prix ?
CL: C’est un Prix à l’échelle européenne, en concurrence avec des Junior Entreprises françaises, belges, polonaises, anglaises et espagnoles.
Ce Prix comporte deux parties : d’abord une note de stratégie sur notre développement international où nous avons fait le choix d’intégrer la présentation d’une étude sur le thème « hôtellerie de luxe », étude menée dans 20 pays avec 8 JE sous-traitantes, nous avons par exemple interrogé des hôtels en Chine, au Japon ou encore en Australie. Ce travail avec des JE étrangères a certainement été valorisé !
La seconde partie est l’œuvre de notre pôle International, au sein d’ESCadrille, qui a été présenter le projet à Bruxelles, avec un oral de 20 minutes, à la commission européenne devant une assemblée de professionnels du milieu du conseil.
En quoi est-ce une plus value pour ESCadrille ?
Ce Prix nous apporte clairement de la notoriété pour les clients qui ne sont pas au courant que l’on travaille avec des partenaires à l’international. Nous réalisons des missions pour des clients français souhaitant s’internationaliser mais aussi pour des clients étrangers. Par exemple, un client souhaitait diffuser en France un produit dans l’agroalimentaire, nous avons alors réalisé une étude marketing et évalué la visibilité de la portée et de la présence du produit.
Notre site[1] est également un vrai plus pour attirer ces clients étrangers, il est en effet très bien référencé sur Google.
Quels sont aujourd’hui les projets de la JE et les prochaines échéances ?
Un des projets phares de notre mandat est la création d’une association Alumni ESCadrille afin de renforcer les liens et structurer ce réseau prometteur.
Nous souhaiterions également créer une antenne ESCadrille à Paris d’ici 2016. Cela nous permettrait de nous rapprocher de grands comptes et ainsi de faire face à la concurrence des JE parisiennes.
Pour ce qui est des échéances, nous présentons cette année 4 prix différents : le label commercial, communication et entrepreneur ainsi que le prix d’Excellence qui vient récompenser la meilleure J-E de France.
Pour ce dernier prix, nous sommes d’ores et déjà demi-finaliste, parmi les 8 meilleures Junior-Entreprise de France. Les jurés sont  des partenaires tels que KPMG, la BNP, les Échos, le MEDEF. Ce Prix récompense un travail d’une année, je serai très fière s’il nous était décerné ! Les 4 finalistes seront annoncés le 25 avril.
Les finalistes des labels seront quant à eux annoncés le 18 avril. Nous aurons les résultats finaux le 10 mai lors du Congrès National d’Été des JE à Seignosse. Ce congrès est un grand événement qui dure trois jours et réunit plus de 1 000 Junior-Entrepreneurs, c’est un moment privilégié de formation et de fête jusqu’à la remise des Prix !
D’un point de vue plus général et personnel, quel est ton rôle en tant que Présidente d’ESCadrille ?

Ce poste de Présidente est composé de trois grandes facettes :
·         Je suis la garante légale et pénale vis-à-vis des 50 études que l’on réalise tous les ans  et ce durant encore cinq années après la fin de mon mandat.
·         J’ai logiquement un rôle de représentation vis à vis de l’extérieur et de communication pour notre JE.
·         Je dois fédérer, impulser et incarner le leadership d’une équipe de 30 personnes.
Quel est enfin ton projet professionnel après cette superbe expérience à la tête de la JE ?
Mon projet professionnel a été validé par cette fabuleuse expérience qui m’a permis d’acquérir de la maturité et de la confiance en moi. Je souhaite créer ma propre entreprise dans deux ou trois ans. Je m’interroge encore sur le secteur mais j’aimerais travailler dans l’industrie textile bio-équitable afin de populariser la consommation et rendre accessible ce type de textile !
C’est tout ce que nous te souhaitons. Merci beaucoup à toi Camille pour cette interview. Bonne chance pour la réalisation de vos projets avec ESCadrille, une des grandes fiertés de TBS !
Edouard RAPPAZ


[1] http://www.escadrille.org/

Liste Sporligans

Liste Sporligans

Le sport c’est Vital
Retracer nos origines constitue un jeu de piste à travers le temps, un travail de généalogiste. Les Sporligans, c’est un peu l’histoire d’une bande de potes qui semble avoir toujours existé. C’est certainement notre vice-présidente, que dis-je notre Padre, Anne Lambert première du nom, qui connait le mieux la famille, puisqu’elle en est la génitrice incontestable. Lorsqu’on lui pose la question, la réponse semble évidente, et c’est ex tempore qu’elle vous dit : « J’ai rassemblé tous les passionnés de sport que je connaissais dans l’école. » Il est indéniable que cette passion est la première chose que nous partageons, et qui fait office de liant pour toute la liste. Mais elle ne peut expliquer à elle seule toute la joie de vivre qui règne chez les Sporligans, dont les yeux s’illuminent d’étincelles rêveuses et enthousiastes même lors de la plus ennuyeuse réunion. Il n’y a au fond sûrement aucune explication rationnelle à notre existence. Il a bien fallu une ou deux interventions divines pour que se retrouvent rassemblés sous le même toit Fabio Costa et Jessica Yota. Il a bien fallu un coup de pouce du destin pour qu’une telle bande de pieds nickelés puisse travailler ensemble.
Mais le miracle a eu lieu, et ce groupe d’assoiffés de sport est devenu une équipe indissoluble, certes à l’aune du Saint Patron du Bureau des Sports, le Dieu éthanol, mais également et surtout grâce à notre volonté inflexible de rejoindre nous aussi l’Olympe pour oindre de notre bénédiction les Jeux de l’école, que les esprits les plus pragmatiques se contentent d’appeler Derby de la Garonne ou encore championnats universitaires.
Pour cela, les Sporligans sont prêts à bosser sec. Afin que notre bureau n’ait plus une image de beaufs paresseux, irrespectueux et bordéliques, mais de beaufs dévoués et affables (mais toujours un peu bordéliques en OB tout de même). Afin que notre bureau puisse redevenir l’ami et le partenaire chaleureux de son frère ennemi, les Bronzés, avec lequel il partage tant de traits communs et pourtant contre lequel on a eu de cesse, à tort, de l’opposer. Afin que le sport retrouve la place qu’il mérite dans notre école, et qu’il ne soit pas uniquement assigné à la fonction bien trop corporate qui est celle de simple exutoire après une réunion tuteur de projet delta interminable ou un entretien de stage stressant…
Vainqueur sans avoir vaincu, nous allons prendre la tête d’un BDS encore hanté par les démons des Sporliakov et de leurs innombrables frasques, et nostalgique de ses vieilles gloires et de ses victoires au Derby. Dans cette aventure, la pente est raide, la falaise est haute, et nous avons tout à prouver et l’école tout à perdre. Le reproche de notre illégitimité, dont nous sommes pourtant les derniers responsables, est aisé et nous savons que nous allons devoir gagner votre confiance pas à pas, patiemment mais avec détermination.
Mais c’est pour vous tous que l’enjeu est le plus grand. Le sport tel qu’il est pratiqué aujourd’hui dans l’école manque d’ampleur et d’ambition, et ce constat évident attriste les passionnés que nous sommes. Dans cette optique, renégocier les créneaux et lieux d’entraînement des équipes pour qu’enfin s’entraîner à l’école ne soit plus un parcours du combattant et organiser un grand évènement sportif durant lequel tous les étudiants de l’école pourront faire valoir leurs talents d’athlètes et de compétiteurs sont des initiatives décisives et à portée de main.
Nous aurons besoin de vous pour tenir ces promesses. Nous aurons besoin d’une école soudée derrière son BDS et surtout derrière ses sportifs, parce que le sport est toujours un travail d’équipe. C’est une question de solidarité, de partage, de passion. Telles sont les valeurs traditionnelles du BDS, que nous voulons porter haut et fort avec vous. Vibrons ensemble derrière nos équipes, embarquons pour de folles troisième mi-temps, affrontons-nous tous le temps d’une journée sur un terrain de sport… Tant de bons moments à portée de main. S’il y a bien une chose que nous partageons tous, bien avant ces valeurs, c’est notre école; l’esprit de promo est présent chez chacun d’entre nous. Les équipes de l’école et ses sportifs sont une vitrine pour TBS, aidons-les à briller.

Nous serons toujours ouverts à vous, en quête de partage et d’aventures à vos côtés. Le sport appartient à tous, tout comme le BDS. Personne n’est insensible aux émotions qu’il peut nous procurer. Nous avons la chance d’étudier dans une grande ville où le sport est au centre de toutes les attentions. Prenons tous exemple sur ces grands sportifs qui portent haut le rose de notre ville. Rendez-vous le 5 avril au derby retour, et l’année prochaine pour une année de gloire. Nos sportifs ont besoin de vous pour l’emporter. 
Buaidh no bas.
Liste Moz’Art Fok’Art

Liste Moz’Art Fok’Art

   Commençons par le commencement du début. Qui sommes-nous? Difficile à résumer.
  Car les moz’art foking listeux que nous sommes représentons un mélange pour le moins hétéroclite d’amateurs et praticiens des arts allant des guitaristes, chanteuses et joueuses de théâtre… Jusqu’aux joueurs de triangle, à un coq élevé à Tchernobyl (malheureusement décédé), un technicien de surface et enfin jusque vers des SDF en jean troué. Mais si tous ce beau monde a pu se réunir autour de l’objectif de succéder au bureau des arts en place, c’est parce que nous avons une croyance commune que porte notre nom. Nous croyons en effet que nous puisons notre identité et notre personnalité dans la culture classique et contemporaine ce qui fait de nous des êtres à deux visages (sans être bipolaires) mais dissimulant toutefois un côté obscur indiscernable a priori…
   Alors bien sûr nous avons pleins d’idées pour l’année prochaine en ce qui concerne les événements déjà en place (Gala, Fashion Week, Comu, TDA)! Nous avons également de nouvelles choses à vous proposer comme « TBS a un incroyable talent ». Mais nous avons surtout une passion débordante et qui ne demande qu’à être partagée et mise à votre service! Voilà pourquoi nous avons tellement aimé jouer devant vous lors de nos événements, à l’amphi de créa mais aussi chez vous! C’est cette même passion qui jetait Dok, paix à son âme, sur vous dans vos soirées, débordant d’amour! Nous souhaitons que ces moments de partage continuent avec vous et pour vous!
   Nous avons longuement préparé ces moz’art fok’ing campagnes au travers de longues réflexions pour vous convaincre que notre passion indéfectible pour ce qui rend notre vie plus belle, l’art, sera à votre avantage l’année prochaine. Voter Moz’Art Fok’Art, c’est s’assurer que votre année artistique 2014-2015 sera encadrée de la meilleure façon qu’il soit, et que vous serez l’un des acteurs de cette année riche en émotions.
   Toujours sceptique ? Soyez chill : vous avez jusqu’à ce week-end pour nous appeler chez vous et voir qui nous sommes !