
La Conquête spatiale entre concurrence et coopération
Si la candidate de Wall Street, de l’Establishment politique, économique, militaire et médiatique a été défaite, alors à qui appartient la victoire de Donald Trump ? Au peuple américain.
Peuple : masse informe aux mains rêches et calleuses, aux faciès putrides et aux gueules béantes. Agrégat souffreteux dont aimeraient fort bien se débarrasser nos tenants du grand capital et leurs savants montages transnationaux. Gageons qu’au paradis Bukowski doit exulter, la choppe à la main et la cibiche au bec : Le capitaine est parti -comprenez Obama- et les marins se sont emparés du bateau. Prolétaires WASP errants, rebuts de la mondialisation,tous Average Joes ventripotents terrassés par une mondialisation dont ils ne veulent plus, réduits à n’être plus « qu’un pas grand chose » dans une Amérique aux allures de contes de la folie ordinaire.
Trump, l’homme que vous haïriez aimer. Grandiloquent, outrancier, incontrôlable -et c’est plutôt rassurant, dans une Amérique minée par l’influence toujours grandissante des néo-conservateurs-, son élection est un authentique crachat aux visages affadis des satyres de l’idéologie dominante, qui n’ont eu cesse de prêcher le mépris des humbles et des nécessiteux, tous petites gens, qui, il est de bon ton de le rappeler à ceux dont la conscience sociale se résume aux applications de rencontre, assure la production de richesse et de valeur.
Victoire qui sonne comme la revanche de ce brelan d’excommuniés, dont Michael Moore s’était fait fut un temps le porte-parole, avant de céder aux sirènes impériales (cf son retournement de veste aberrant et soutien de dernière minute à la candidate Clinton).
D’un candidat l’autre. Risible ballet médiatique et déclarations creuses qui sonnèrent comme autant d’épitaphes d’un establishment exsangue, ployant sous le poids de ses propres compromissions. Pourtant, mégères, succubes et autres sorcières avaient urné- a défaut d’ovuler, puisque ces féministes raffinées considèrent la maternité comme une aliénation !- correctement, appelant à boycotter Donald « la bête immonde » Trump. Analystes malingres et béotiens condamnèrent d’une même voix l’homme d’affaires, un philosophe ayant pignon sur rue dans nos vertes contrées -BHL, pour ne pas le nommer- se fendant même d’un édito dans « Le Point » (reste à savoir ou il peut se le mettre désormais…) expliquant que la victoire de Trump était impossible ! Ultime prophétie d’un ordre médiatique qui n’a plus rien à nous offrir d’autre que son agonie.
Ce jour d’élection restera comme celui ou l’écho des soliloques des pauvres et des déshérités parvinrent enfin à l’establishment. L’éternel retour du concret.
Mehdi Brochet.
![]() |
Le Dalaï-lama, figure controversable de la paix ?
« Un des défis pour notre nation est de garder pure la race tibétaine » Sandhong Rimpoché, premier ministre du gouvernement tibétain en exil de 2001 à 2011, fermement opposé au mariage mixte, entre tibétains et non-tibétains.
« L’activité de la CIA au Tibet se compose d’une action politique, de propagande et d’activité paramilitaire. Le but du programme est de maintenir le concept politique d’un Tibet autonome (…) et de construire une capacité de résistance aux développements politiques possibles à l’intérieur de la Chine » extrait du programme de la CIA au Tibet*
Il s’agit d’abord de rappeler ce qu’est le Tibet avant 1950, une théocratie esclavagiste au sein de laquelle les nobles et les moines peuvent utiliser les jeunes garçons comme partenaires sexuels. Un territoire sur lequel l’espérance de vie est de 35 ans, le taux d’analphabètes est de 90%, la torture (sévices, amputations) est réservée aux contrevenants aux règles de vie imposées par la Caste au pouvoir, moines largement compris.
En 1959, la CIA organise la fuite du Dalaï-lama – Tenzin Gyatso – hors du Tibet*. Entre 1959 et 1964, des commandos tibétains sont entraînés par les services américains pour combattre la Chine*, sans succès puisqu’ils ne bénéficient pas du soutien de la population qui ne souhaite pas le retour de la théocratie.
Les indiens rechignent à accueillir des réfugiés tibétains, Nehru conclue un accord avec Eisenhower : L’Inde accueillera le Dalaï-lama et ces réfugiés, en échange, les Etats-Unis fourniront la technologie nucléaire aux indiens. La première bombe nucléaire indienne sera nommée « Bouddha souriant ».* *
Les Etats-Unis, par le biais de la CIA, du Département d’Etat et du Pentagone vont mettre en place un « Programme tibétain »* qui coûtera à la CIA, entre 1951 et 1972, presque deux millions de dollars annuels*. Ce plan consiste à organiser la résistance tibétaine face à la chine, par des moyens de « complots politiques, de propagande et de support paramilitaire »
Suite à la fin de ce plan, la NED (National Endowment for Democracy) prendra le relais. Cet organisme vise à promouvoir la paix dans la monde, en théorie. Concrètement, elle est le bras armé de la géopolitique étasunienne parallèle. Son fondateur, Allen Weinstein, a déclaré au Washington Post que « Bien des choses faites pas la NED maintenant étaient faites clandestinement par la CIA il y a 25 ans ».
Le Dalaï-lama obtiendra la médaille de l’ « honneur » de la part de la NED en 2010, pour services rendues à la « défense de la démocratie et des droits de l’homme ».* *
Parmi les amitiés du Dalaï-lama, on notera avec profit ses accointances avec des pures produits de l’Allemagne nazie. Heinrich Harrer fit partie de l’expédition allemande au Tibet (1938-1939)* placée sous la direction d’Himmler et de l’Institut d’anthropologie raciale allemand. Il sera un précepteur du Dalaï-lama. Adhérant à la SS en 1938 (unité SS 38, matricule 73896), membre des chemises brunes depuis 1933, il a une vision du monde bien particulière.
![]() |
Son ami, Bruno Berger, capitaine SS et élève du raciologue Clauss, sélectionna notamment des déportés juifs à Auschwitz pour mener des expériences scientifiques. Il a noué pendant son séjour au Tibet de nombreuses amitiés avec l’aristocratie tibétaine, notamment la famille du Dalaï-lama. Il rencontrera à nouveau le Dalaï-lama en 1983, 1984, 1985, 1986 et 1994. En 1994, il signe à Londres et aux côtés de son ami Harrer et du Dalaï-lama un document déclarant le Tibet comme « pleinement souverain avant 1950 ». Le même Berger publiera un livre intitulé « Mes rencontres avec l’Océan de Sagesse ».*
Nous passerons sur les amitiés avec Miguel Serano, chef du parti nazi chilien ou avec Jorg Haider, furieux nostalgique du 3ème Reich.
Que penser enfin de la demande formulée par le Dalaï-lama pour la libération de Pinochet* ? Ou encore de son soutien à son ami de toujours, George W.Bush, dans l’invasion de l’Irak* (violant tous les principes fondamentaux du droit international et provoquant plus d’un million de morts) ?*
Concrètement, le Dalaï-lama et son entourage proche est historiquement inféodé à la CIA, au département d’Etat et au Pentagone*, des institutions qui ont une conception de la paix Bien à elles.
Il est indispensable de retracer rapidement l’Histoire des relations entre le Tibet et la Chine pour mettre en perspective ce soutien américain au Tibet et au Dalaï-lama. Le Tibet fait partie intégrante du territoire national chinois, il n’a été indépendant qu’entre 622 et 842. Sa présumée indépendance entre 1913 et 1950 n’a été reconnue par aucun Etat, et n’avait aucune valeur dans le droit international. Parler d’une « annexion » du Tibet parait donc abusif, ce territoire ayant toujours été rattaché au territoire chinois. a toujours oscillé entre une position de faiblesse-soumission à la Chine dans les périodes d’apogée de celle-ci et une position de révolte indépendantiste lorsque la Chine connaissait des déboires. En 1911, la Chine sombrait après le renversement de la dynastie mandchoue, le Tibet en profita par le biais de son XIIIe Dalaï-lama pour proclamer son indépendance en 1913. Après la prise de pouvoir des communistes en Chine, celle-ci se lança dans la reconquête du Tibet, en 1950. C’est là que le rôle des Etats-Unis deviendra majeur. Dans un premier temps, les stratèges étasuniens vont chercher à disposer d’une assise hautement stratégique en Asie Orientale, au cours de l’Histoire, d’abord dans une stratégie d’endiguement du communisme, puis dans le contexte actuel de guerre économique et géostratégique contre une puissance en mesure de menacer l’ordre hégémonique étasunien.
Enfin, le Dalaï-lama actuel a son successeur politique* parmi les membres de sa communauté en exil. Celui-ci se nomme Lobsang Sangay* et n’est pas vraiment connu pour avoir des relations privilégiées avec les gouvernements russes ou chinois. En effet, il a été l’heureux bénéficiaire d’une Bourse Fullbright*, financée par le Département d’Etat Américain et intimement lié à la CIA, il a étudié à Harvard et vit aux Etats-Unis en tant que premier ministre du Tibet en exil*. Un palmarès qui lui vaudra sans aucun doute la sympathie de l’ensemble des représentants politiques et médiatiques atlantistes.
Le Tibet, verrou stratégique incontournable
Géographiquement, le Tibet repose sur de hauts plateaux qui culminent entre 4000 et 5000 mètres d’altitude, ces plateaux offrent à toute puissance le contrôlant une position haute le long d’une frontière sensible, à la charnière de la Chine, du monde indien et de l’Asie centrale.
Ces hauts plateaux sont le lieu idéal pour disposer des engins balistico-nucléaires pour épauler l’allié Pakistanais et tenir en respect l’Union indienne (cf l’escalade militaire Inde-Pakistan).
Au plan énergétique, l’importance du Tibet n’est pas moindre. Il héberge la source et le cours supérieur de tous les grands fleuves d’Asie orientale, il s’agit en somme du Château d’eau qui permet à la Chine de sécuriser ses approvisionnements hydrauliques.
Le Tibet est également une source de matières premières de premier choix pour Pékin. Ses sols sont riches en bois, charbon, pétrole et minerais (dont uranium et or). L’ouverture d’une ligne de chemin de fer entre Pékin et Lhassa en 2006, ne doit rien au hasard.
Il existe une analogie géopolitique qui permet d’illustrer les conséquences d’une possible indépendance du Tibet (indépendance qui serait reconnue par les Nations Unies). Il s’agit du Kosovo, cet Etat-OTAN dont la création n’a été possible que dans la mesure où les Etats-Unis et vassaux assimilés ont soutenu le mouvement terroriste dirigé par Hashim Thaçi (UCK)*. L’indépendance de ce territoire vis-à-vis de la Serbie permit la création d’une immense base américaine, la plus grande d’Europe, dans la région hautement stratégique des Balkans*. Ce soutien participe donc de la volonté d’encerclement des Etats les plus susceptibles de contrarier les plans géopolitiques étasuniens, à savoir la Chine et la Russie, en contestant même les territoires qui leur sont intrinsèquement liés par le biais de l’intégration à l’OTAN-Union européenne.
Un simple regard porté sur la carte des bases de l’OTAN dans le monde permet de s’en assurer définitivement.
Après des décennies de bons et loyaux services de la part des Grandes Puissances, le Dalaï-lama offre les siens en défendant corps et âme l’Union européenne et la doctrine impériale étasunienne, œuvres qui nous subjuguent chaque jour que Dieu fait par leur dimension pacifique et démocratique.
En définitive, que reste-t-il de la dimension humanitaire et spirituelle du Dalaï-lama lorsqu’on daigne s’intéresser au réel géopolitique ?
Think Tank Averroès
Source principale : https://www.upr.fr/actualite/31-mars-1959-31-mars-2015-il-y-a-56-ans-la-cia-organisait-levacuation-du-dalai-lama-du-tibet
Note informative:Tous les éléments, documents, sources et faits rapportés dans le présent article émanent directement des plus hautes institutions des Etats-Unis (Maison Blanche, Département d’Etat, Pentagone, CIA) et de sources recoupées par les journaux jugés les plus sérieux.Leur véracité n’est pas de nature à être remise en cause. Néanmoins, par déontologie, nous encourageons nos lecteurs à faire preuve de perspicacité et ainsi à vérifier systématiquement ces sources.
Pour notre part, nous reprendrons à notre compte un adage traditionnel : « dis-moi qui te paye, je te dirai pour qui tu travailles ».
« Les principaux pouvoirs conférés à la Commission sont les suivants: l’exécution du budget (article 317 du TFUE); le pouvoir d’autoriser les États membres à prendre les mesures de sauvegarde que les traités prévoient, en particulier pendant les périodes de transition (par exemple, article 201 du TFUE); et des pouvoirs en matière de règles de concurrence, en particulier le contrôle des aides d’État, conformément à l’article 108 du TFUE. »
« Les traités confient à la Commission le soin de veiller à leur bonne application et à celle des décisions prises pour les mettre en œuvre (droit dérivé). C’est son rôle de «gardienne des traités». Il s’agit avant tout de la «procédure en manquement» à l’égard des États membres, prévue à l’article 258 du TFUE »
Think Tank Averroès
Sources :
« Le terrorisme est d’abord un fait étatique, c’est d’abord le fait de services de renseignement qui utilisent des illuminés, des fanatiques pour mener à bien leurs opérations* » Aymeric Chauprade, Géopoliticien français ayant enseigné à l’Ecole de Guerre.
Il ne s’agit pas de prétendre que l’ensemble des organisations et actions terroristes sont téléguidées par des services de renseignement, loin s’en faut. Néanmoins, la fabrication de l’ennemi n’est pas une chimère, comme l’a brillamment montré Pierre Conesa (Ancien haut responsable de la Direction des Affaires Stratégiques du Ministère de la Défense).
En somme, la disparition de l’URSS a imposé aux puissances occidentales en général et à la puissance étasunienne en particulier un défi hors pair : la désignation d’un nouvel ennemi. Arbatov, le conseiller diplomatique de Gorbatchev avait anticipé ce défi : « Nous allons vous rendre le pire des services, nous allons vous priver d’ennemi ». La justification de la puissance est une invariable nécessité géopolitique, la disparition de l’URSS discrédite la puissance du camp qui lui était opposé.
Opération Himmler : (Allemagne, recherche d’un prétexte pour envahir la Pologne) : Le 31 août 1939, une opération organisée par les Nazis vise à faire croire à une attaque polonaise sur le territoire allemand afin que l’Allemagne puisse déclarer la guerre à la Pologne. Ce fut le prétexte utilisé par l’Allemagne pour envahir la Pologne, le 1er Septembre 1939, entraînant l’Europe vers la seconde guerre mondiale*.
Opération Embarras : Entre 1947 et 1948, les services secrets britanniques organisent 5 attentats à la bombe contre des navires devant transporter des juifs survivants de la Shoah pour immigrer en Palestine. Ces opérations sont réalisées au nom d’un faux groupe appelé : « Les Défenseurs de la Palestine Arabe »*
« Nous pourrions mener une campagne de terreur communiste cubaine dans la région de Miami, dans d’autres villes de Floride, et même à Washington. »
« Quelques explosions de bombes au plastic dans des lieux soigneusement choisis, l’arrestation d’agents cubains et la publication de faux documents démontrant l’implication cubaine, aideraient également à la propagation de l’idée d’un gouvernement irresponsable. »*
L’appui de Kadhafi au terrorisme : En 1984, le MOSSAD installe un émetteur dans une infrastructure gouvernementale libyenne. Cet émetteur diffuse de fausses transmissions terroristes enregistrées par le Mossad. Ces transmissions seront interceptées par les services occidentaux et les Etats-Unis bombarderont la Libye pour la dédommager en 2008.*
Comment déstabiliser des régimes en Amérique du Sud ? (Etats-Unis, Doctrine Monroe) En 1994, le document « Special Forces Foreign Defense Tactics Techniques and procedures for Special Forces »* émanant de l’armée des Etats-Unis, recommande fortement le recours à des opérations sous faux drapeau pour déstabiliser des régimes opposés à l’hégémonie des Etats-Unis.
Explosions d’immeubles en Russie : En 1999, les services de renseignement russes organisent des attentats à la bombe en Russie pour faire accuser les terroristes tchétchènes. Cette stratégie vise à envahir la Tchétchénie.*
Force est de constater que ce type d’opérations sont légion et aucune puissance de premier plan ne peut se targuer de ne jamais les utiliser. Il existe nécessairement une corrélation entre puissance et capacité à organiser ce type d’action. Au regard du nombre de ces opérations dans l’histoire contemporaine et du développement des capacités à les organiser (technologie, médias acquis systématiquement à la « théorie officielle ») nous avons de bonnes raisons de penser qu’elles continuent à être mises en œuvre régulièrement. Le contexte géopolitique n’a peut être jamais été aussi favorable à celles-ci (jeux d’alliances indéchiffrables, ampleur des enjeux, multiplicité des acteurs).
Un travail rigoureux doit alors être mené pour éviter les deux écueils les plus fréquents quant à cette question : la défense aveugle et systématique de la théorie officielle parfois très fragile et la vision paranoïaque qui convoque une sorte de main invisible omnipotente sur le terrorisme. La guerre contre le terrorisme islamiste constitue notre prochain sujet d’étude, en ce qu’elle a été fomentée par les néo-conservateurs américains pour garantir la stabilité de l’empire étasunien, constitué autour d’organisations qui lui sont inféodées et qui garantissent sa domination sur la scène des relations internationales. La récupération politique systématique des crimes de masse est dialectique. C’est l’affaire de Daesh par publicité mensongère, « Nous sommes partout et nous vous vaincrons « . Et c’est l’affaire des Gouvernements, « nous assassinons vos libertés pour les défendre, nous menons des guerres de conquête pour vous défendre ». Le résultat logique consiste à fabriquer un consentement autour de la guerre des civilisations. Nous nous inscrivons en faux face à cette stratégie de tension.
L’essence de l’attentat sous faux drapeau est simple : c’est le vice, le mal, la méchanceté et l’obscurantisme fabriqué matériellement de l’Autre et de l’Ailleurs contre soi.
Même s’il est établi que les stratèges étasuniens n’ont pas attendu le 11 septembre pour penser un remodelage du Moyen-Orient, nous n’étudierons pas ces évènements pour en déterminer les causes et les parties prenantes. Nous partirons très simplement du fait que ces événements ont été l’élément déclencheur de la projection de puissance étasunienne. Un prochain article sera néanmoins entièrement consacré aux événements du 11 septembre.
Le problème que pose la désignation d’un ennemi unique systématique répond à la même logique de la fabrication de l’ennemi. La terreur est un élément fabriqué matériellement et idéologiquement – violations de souveraineté, productions académiques, médiatiques – pour rendre illisible une stratégie géopolitique impérialiste. Le piège géopolitique consiste à dire préférer l’impérialisme américain au terrorisme islamiste. C’est une aporie qui implique la guerre contre le terrorisme comme moyen de puissance et de domination d’un monde conforme aux intérêts étasuniens. La suite du présent article traitera donc des origines et des conséquences de la fabrication du terrorisme comme adversaire proclamé de la civilisation occidentale.
Commentaires récents