par ecasado | 11 octobre 2021 | RDVC en parle nº3
TBCook, c’est l’association cuisine de TBS qui rassemble de fins gourmets dont le but est de vous faire rêver à travers des plats tout au long de votre scolarité. Que vous soyez débutant ou expert en la matière, les cuistots de TBCook trouveront de quoi vous ravir. Recettes pompettes, buffets ou encore lives recettes, Gordon et ses petits chefs sauront vous mettre l’eau à la bouche.
Gordon TBCook vous accompagne
Mais tout ceci ne peut se faire sans une équipe de choc. C’est pourquoi Gordon a su s’entourer de 4 pôles. Calmez votre faim grâce au pôle Atelier, qui est chargé de concocter “les plats du mois”, des ateliers cuisine et également de super recettes pour que chacun puisse devenir un meilleur chef cuistot. Découvrez les publications du pôle Communication qui a pour but de vous faire saliver devant les recettes exceptionnelles que nos petits chefs ont préparées mais aussi de vous faire la promo de toutes les idées ingénieuses que prépare l’asso. Le pôle Démarchage s’occupe cette année de trouver des partenariats pour financer le premier livre de recettes de TBS. Il se charge aussi de trouver des lots pour les jeux concours. Profitez de ce que le pôle Event nous prépare des événements comme les “Péniches d’intégration” et les dégustations à Sesquières. Il travaille également en collaboration avec le pôle démarchage pour vous organiser des concours.
Gordon aime tout autant les bons plats élaborés que les crêpes classiques ou encore de bons burgers bien gras. Nul besoin d’être un cuisinier de talent pour intégrer la belle brigade de TBCook.
Par Clément AUGUSTE & Marie-Laure GAGNARD pour TBCook
par ecasado | 11 octobre 2021 | RDVC en parle nº3
Cette année, tu as décidé de t’investir dans une association porteuse de sens et qui te fera monter en compétences ? Laisse-nous te présenter EasyJob, la jobservice de TBS.
Qu’est-ce-qu’une JobService ?
C’est une association étudiante qui permet aux élèves de l’école de trouver un emploi rémunéré. Les cinq pôles de l’association travaillent conjointement pour pouvoir aider les étudiants de TBS à trouver du travail. Les entreprises, lorsqu’elles ont un poste à pourvoir, nous sollicitent pour deux types de prestation : soit nous sommes chargés de partager leur offre d’emploi sur nos réseaux sociaux (Instagram : @easyjob et Facebook), soit elles nous demandent de recruter directement un ou plusieurs étudiants dont les profils conviendraient aux exigences du poste.
Alors maintenant que vous savez tout sur l’utilité de notre Jobservice, comment ça marche exactement ?
Tout commence par le pôle Développement Commercial (appelé pôle DC) : les membres de ce pôle sont nos interlocuteurs directs avec les entreprises. Ils s’occupent de faire de la prospection et du démarchage, ils contactent les entreprises pour leur proposer nos services (de la communication, ou du recrutement). Chacun des membres du pôle DC fonctionne en binôme pour un travail plus efficace et tous sont chargés de démarcher des entreprises. Une fois le contact établi avec l’une des entreprises, ils doivent être perspicaces pour cibler les besoins du client et c’est là que leurs talents de négociateurs entrent en action. Lorsqu’un terrain d’entente est trouvé avec l’entreprise, ils sont à charge de la rédaction et de la signature des contrats pour formaliser les partenariats. Mais leur rôle ne s’arrête pas là, nos membres DC sont aussi chargés de maintenir un lien avec nos partenaires, même après la mission, dans le but d’élargir et de consolider notre portefeuille client. Les membres DC peuvent donc se créer un important réseau professionnel dans le bassin toulousain.
Le pôle Ressources Humaines entre en action !
Après la signature d’un contrat de recrutement, le pôle Ressources Humaines entre en action. Les membres du pôle RH, qui travaillent main dans la main avec le pôle DC, sont alors chargés de rédiger l’offre d’emploi et de la diffuser à l’ensemble des étudiants de TBS. Nos offres d’emploi sont assez variées : CDI, CDD ou même mission ponctuelles. Une fois les candidatures déposées, nos RH font une présélection des CV et convoquent les étudiants en entretien. Après ceux-ci, nos RH sélectionnent le candidat idéal pour le job et transmettent son CV à l’entreprise. Il va sans dire que ce pôle est extrêmement formateur : en étant dans la position du recruteur, il devient après plus facile de passer des entretiens lorsqu’on cherche des stages ou du travail.
Notre pôle trésorerie, composé d’un seul mais valeureux membre (notre trésorier, vous l’aurez compris) est en charge de la gestion et de la santé financière de l’association. Il est au cœur de la vie d’EasyJob car il garde un œil sur toutes les activités de l’asso : il édite les factures et alloue les budgets pour l’ensemble de nos événements.
Quid des events chez EasyJob ?
Notre pôle event, composé de trois membres est en charge de promouvoir l’association, en organisant différents événements tout au long de l’année. Ce sont eux les petites mains derrière les afterwork, les Jobdating, le WEI EasyJob, le cocktail partenaires ou encore les brunchs entre membres. Vous l’aurez compris, le pôle event a à cœur de faire connaître notre association, mais il est aussi garant de l’ambiance de l’asso et de la bonne entente entre ses membres, qui est essentielle au bon fonctionnement d’EasyJob. C’est pourquoi nos membres event s’activent tout au long de l’année pour organiser des événements ouverts à tous, mais également des events en interne pour que tous les membres de l’asso puissent se retrouver et partager de bons moments !
Enfin, last but not least, notre pôle communication est notre fenêtre sur le monde. Ils sont en charge de notre communication sur les réseaux sociaux, ils diffusent notamment les offres d’emploi de nos partenaires. Nos membres créatifs réalisent donc des visuels pour nos réseaux sociaux et c’est avec eux que vous communiquez sur nos comptes Instagram et Facebook. Ce sont également eux qui tiennent à jour notre site internet, garant de notre image vis-à-vis des entreprises avec lesquelles nous collaborons.
Quel futur pour EasyJob ?
Bien-sûr, la mission centrale de l’asso étant d’aider les étudiants à trouver un emploi, nos membres ont à cœur de continuer à développer cet aspect en proposant de plus en plus d’offres d’emploi, et cela passe notamment par notre volonté d’élargir notre portefeuille client. Mais d’autres projets sont également en train de germer dans la tête de nos membres : le pôle RH souhaite par exemple proposer un accompagnement encore plus poussé à nos étudiants. C’est pourquoi il souhaite mettre en place des ateliers avec les étudiants, pour leur donner des tips sur la rédaction de leur CV et leur lettre de motivation. Notre rôle ne s’arrête donc pas seulement au recrutement, nous avons besoin de nouvelles têtes pensantes pour développer l’association et le champ d’action de nos membres !
EasyJob, ce n’est pas seulement une asso professionnalisante, c’est aussi et surtout des membres soudés et animés par une même valeur : la solidarité. En plus de permettre aux étudiants de trouver du travail, chaque année, l’association reverse ses bénéfices à la fondation TBS, pour aider à financer les bourses d’étude pour les étudiants en précarité financière.
Tu l’auras compris, tout le monde trouve sa place chez EasyJob : que tu aies l’âme d’un négociateur, d’un chasseur de têtes, d’un comptable, que tu sois organisé ou créatif, tu seras le bienvenu ! Alors si tu veux en savoir plus, n’hésite pas et contacte nous sur nos réseaux sociaux, à bientôt
par ecasado | 11 octobre 2021 | RDVC en parle nº3
Vous n’êtes pas sans savoir que le secteur aérospatial a fortement contribué à la croissance économique de l’agglomération toulousaine et lui a même permis de se dresser au rang de capitale aérospatiale européenne. Mais comment y est-elle parvenue ? Tout commence grâce à Pierre Georges Latécoère, qui a marqué les esprits et qui est considéré comme un entrepreneur hors-pair de la première moitié du XXème siècle. Il développe réellement son entreprise pendant la Première Guerre Mondiale, période pendant laquelle il transforme son usine de Toulouse en site de fabrication d’obus pour répondre aux besoins militaires de l’époque. Il se lance dans la conception d’avions de combat et de reconnaissance et devient rapidement un fournisseur officiel de l’État français pendant la guerre. Grâce à son travail acharné et son talent de businessman, il fait de Toulouse la « ville tournée vers le secteur aéronautique ».
Toulouse, Capitale européenne et mondiale des secteurs aéronautique et spatial
Les deux guerres mondiales ont permis à l’aéronautique d’émerger et de s’imposer dans le paysage industriel. En effet, les besoins en termes d’aviation se sont multipliés au cours des deux guerres. Les armées avaient besoin d’avions de reconnaissance et de surveillance afin de localiser les armées ennemies ainsi que d’avions de combat pour attaquer les pays adversaires. D’autres modèles d’avions sont aussi apparus pour de nouvelles finalités ou encore les hydravions pour la Marine Nationale. Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, l’industrie aéronautique française cherche à se renforcer en construisant des avions dédiés au transport civil. C’est alors que la caravelle fait son apparition. Les avions de ce modèle seront produits à Toulouse par le constructeur SNCASE qui deviendra plus tard Sud Aviation. Certaines pièces de la Caravelle sont d’ailleurs fabriquées par la société Latécoère comme les parties arrières du fuselage.
A partir des années 1960, la France décide de mener une politique de décentralisation et de réaménagement du territoire. C’est alors que Toulouse figure parmi les huit métropoles françaises « d’équilibre » et elle est choisie comme ville de spécialisation dans les activités aéronautiques et spatiales en raison de son passé et des grandes figures de l’aviation qui s’y sont installées comme Latécoère. Dans ce même contexte de décentralisation, des écoles d’ingénieurs tournées vers le secteur aéronautique déménagent de Paris pour s’implanter à Toulouse. Cette installation renforce le savoir-faire de pointe de la région toulousaine dans le secteur aéronautique.
Lors de la Guerre froide, la France et la Grande Bretagne collaborent pour construire un avion supersonique, le célèbre Concorde. Il a été assemblé sur le site industriel Sud-Aviation à Toulouse. Le 2 mars 1969, l’aéroport Toulouse Blagnac accueille ce bijou technologique, capable de relier Paris à New-York en un temps record, 3h30 à une vitesse dépassant le mur du son, Mach 2,2, soit environ, 2300 km/h. Dans les années 1970, de nombreux constructeurs aéronautiques ont émergé en Europe mais aucun n’a la capacité de contrer le géant de l’aéronautique américain, Boeing, qui en position de monopole à l’échelle internationale. Afin de mener une concurrence plus efficace et plus durable, les différents constructeurs européens se rassemblent au sein d’un consortium dénommé Airbus.
Airbus rivalise avec Boeing
Le premier modèle d’avion développé par le groupe Airbus est l’A300. Airbus a une stratégie d’approvisionnement et de production bien définie. Les différentes pièces d’un avion sont construites dans différents pays pour la plupart d’entre eux européens, et chaque pays est spécialisé dans la conception et la fabrication d’un type de pièce précis. Airbus a créé un modèle d’avion, le Beluga, afin d’assurer le transport des pièces jusqu’au site d’assemblage final. Une fois toutes les pièces de l’appareil réunies, l’aéronef est assemblé en région toulousaine, plus précisément à Blagnac. Le siège social d’Airbus est situé à Toulouse.
Airbus est la première entreprise industrielle en termes de chiffres d’affaires et d’effectif dans la région toulousaine. L’entreprise emploie entre 25.000 et 30.000 salariés en région toulousaine et son chiffre d’affaires pour l’année 2020 était de plus de 8,28 milliards d’euros pour l’ensemble des sites toulousains. Plus de la moitié des emplois du groupe Airbus sont pourvus en région toulousaine où sont situés les sites de production, d’assemblage final et le siège social. Airbus a conçu plus de la moitié des avions commerciaux qui volent à travers le monde.
Du côté du secteur spatial, la ville rose abrite le CNES (Centre National d’Etudes Spatiales) créé en 1961. La principale mission du CNES consiste à élaborer une politique en matière de conquête spatiale, de coopération internationale, ainsi qu’une politique couvrant l’ensemble des enjeux liés à ce secteur hautement stratégique pour l’Etat français. Aux alentours de la ville rose sont également implantés des laboratoires de recherche pour le domaine spatial, et des entreprises industrielles spécialisées dans la construction de satellites, de sondes, ou encore du vaisseau servant à ravitailler la Station Spatiale Internationale. On peut, par exemple, citer Thales Alenia Space et Airbus Defense & Space.
Le secteur aérospatial, un atout pour l’attractivité touristique de la ville rose
Parmi les établissements du secteur spatial les plus prisés et les plus visités, nous pouvons mentionner la Cité de l’Espace, avec près de 375.000 visiteurs par an. Il s’agit d’un centre de culture scientifique permettant à ses visiteurs d’apprendre un large panel de choses sur l’astronomie, l’astronautique et la météorologie à travers de nombreuses animations et de nombreuses expositions. Ils peuvent par exemple au sein de la salle de contrôle, visionner la préparation d’un lancement de fusée, assister à son décollage, son vol puis sa mise en orbite. De nombreuses autres activités sont également proposées comme des spectacles dans le Stellarium. Des séances d’entraînement astronaute ainsi que des séances d’informations avec des météorologistes sont aussi à découvrir.
Parmi les incontournables à visiter, figure le musée Aeroscopia situé à Blagnac. Les visiteurs ont la possibilité de visiter l’intérieur, cockpit et cabine. Ils ont notamment le privilège d’entrer à bord du Concorde ou encore de l’A 300. Sur le tarmac extérieur Sud, ils peuvent également monter à bord d’une caravelle d’Air Inter, d’un A 400 M, plus gros porteur de transport militaire. La chaîne d’assemblage d’Airbus est également visitable. Depuis fin 2019, un tarmac extérieur nord a été aménagé et de nouveaux aéronefs sont. La surface du musée Aeroscopia a ainsi doublé, passant d’une surface de près de 14.000 m² à une surface de près de 28.000 m². La ville rose est donc bien LA ville de l’aéronautique et du spatial, ce qui la rend très attractive pour les touristes, les investisseurs et les businessmen.
Par Nolwenn DALLAY
par ecasado | 11 octobre 2021 | RDVC en parle nº3
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par ecasado | 26 mai 2021 | RDVC EN PARLE n°2
Tu rêves d’intégrer une école de commerce, mais les préjugés sur leurs étudiants égoïstes et irresponsables te font douter ? Ne t’inquiète pas, être étudiant à TBS ne te fera pas renier tes valeurs ni tes convictions. Il y a mille et une manières de t’engager et de rendre ton expérience étudiante utile à notre société. Tout d’abord, parlons associations : lors de ton entrée à TBS, tu as la possibilité de rejoindre une de ses 30 associations étudiantes : le choix n’est donc pas vraiment aisé, c’est vrai. Mais, si tu souhaites mener des actions engagées dans l’humanitaire, l’environnement, le féminisme ou encore la lutte contre le cancer, tu trouveras plusieurs associations qui n’attendent que toi !
Aujourd’hui nous souhaitions te parler des différentes manières de s’engager dans l’humanitaire et le solidaire et, évidemment, nous allons te parler du Bureau De l’Humanitaire, aka le BDH. Celui-ci regroupe 50 étudiants qui n’ont qu’un objectif en tête, venir en aide aux personnes démunies à Toulouse, mais aussi à l’international. D’ailleurs, le BDH a été élu Meilleure Association Étudiante de France en 2020 par le Classement des Associations, ce n’est pas pour rien… Nota Bene, malgré son nom, le Bureau de l’Humanitaire n’a pas besoin d’être élu à la suite de campagnes, au même titre que le BDE par exemple, il s’intègre à la suite de candidatures comme toutes les autres associations !
Le BDH est fait pour toi
50 membres, 50 manières d’envisager la solidarité, 50 manières de s’engager. Voilà ce que tu trouveras au BDH. L’association se divise en 6 pôles à projets et 1 pôle Com&Event. Laisse-nous te détailler tout ça !
Ton truc, c’est le contact avec les populations autour de toi qui ont besoin de ton aide ? Alors nos pôles Art en Marge, Réfugi’aide ou encore School’idarité sont faits pour toi ! Art en Marge mène des actions pour aider les sans-abris et Réfugi’aide, comme son nom le laisse sous-entendre, accompagne les réfugiés et les demandeurs d’asile de Toulouse. Enfin, School’idarité, nouveau-né de l’association, vient en aide à des collégiens en difficulté en proposant soutien scolaire et sorties culturelles.
Ou alors, peut-être que tu rêves de partir en mission solidaire autour du monde ? Pas de panique, le BDH est sur tous les fronts. Le projet Human’Act organise de A à Z une mission solidaire d’un mois, dans un pays qui a besoin de ton aide. Rallye solidaire, organise un road trip à travers l’Europe de l’Est pour soutenir des associations humanitaires locales. Enfin Gawad Kalinga sensibilise à l’entrepreneuriat social et solidaire et prépare le stage avec l’ONG aux Philippines pour les étudiants recrutés.
Bref tu l’auras compris, peu importent les personnes que tu souhaites soutenir, le BDH te permet de le faire !
En outre, tu peux aussi t’engager en dehors du dispositif associatif de TBS, en intégrant une association extérieure telle que les Restos du Cœur, Amnistie Internationale, Unicef et j’en passe ! L’avantage en école, c’est que tu as le temps de t’investir dans des projets qui te tiennent vraiment à cœur ! Le + ? TBS valorise même l’engagement étudiant sur ta moyenne. Alors, tu n’as plus d’excuse !
TBS te soutient
Enfin, en L3, tu peux aussi t’engager à travers les ATC (Ateliers Think & Create) : un projet obligatoire (mais bon délire) que tu choisis en début d’année et que tu vas devoir réaliser tout au long des deux semestres de L3 avec ton groupe ! Ces ATC sont divers et variés, mais tu peux choisir les ATC Projets solidaires et Bénévolats (PSB) ou Cordée qui te permettront respectivement de mener à bien un projet solidaire avec une association prédéfinie ou d’accompagner individuellement des collégiens ou des lycéens dans leur scolarité et orientation.
Voilà, tu sais tout sur les manières de s’engager dans le solidaire en étant étudiant à TBS ! Peu importe ton association et parcours, tu peux évidemment toujours participer aux événements (collecte, bol de riz etc) que le BDH et les autres associations engagées de l’école proposent tout au long de l’année.
Pour ne rien louper de l’actualité du BDH et de l’humanitaire en général, n’hésite pas à venir nous rejoindre sur Instagram, @bdh.tbs et sur notre site internet, www.bdh-tbs.fr.
Par Manon HELFER
par ecasado | 26 mai 2021 | RDVC EN PARLE n°2
Ne l’appelez plus TBS Business School mais TBS Education ! Désormais dotée du statut de société à mission, l’école toulousaine affirme aujourd’hui plus que jamais la place centrale de l’éducation comme vecteur de transformation du monde.
Sa mission : « devenir une école toujours plus inclusive ». Sa raison d’être : « favoriser l’égalité des chances, renforcer l’ouverture sociale et être une école qui permet d’offrir à ses étudiants les conditions d’une scolarité possible et sereine, quelles que soient les barrières sociales ou financières. D’où ce signal fort que nous lançons pour la rentrée prochaine : la modulation des frais de scolarité des étudiants en formation initiale en fonction des revenus des familles », introduit la directrice Stéphanie Lavigne.
Une illustration de cette dynamique collective qui a poussé l’école à prendre, en 2021, la qualité de société à mission, « concrétisant ainsi 15 ans d’engagement pour intégrer les objectifs environnementaux, sociaux et sociétaux dans tous les aspects de l’école », ajoute-t-elle.
Des campus new look
Une nouvelle dimension qui va de pair avec le démarrage d’un plan stratégique pour 5 ans, Inspiring TBS, basé sur quatre piliers. D’abord, des campus d’un nouveau genre. « Quatre campus inspirants auxquels nous voulons donner un impact sociétal. Des lieux de vie, des « tiers lieux » qui rassemblent toutes les communautés. »
Parce que sa faculté est « LA ressource différenciante, TBS Education encourage ses professeurs à s’engager dans une recherche académique de haut vol et à entreprendre des programme de recherche faisant écho à ses formations et ses entreprises partenaires », indique Stéphanie Lavigne. Trois centres d’excellence permettront d’ailleurs de formaliser cette recherche à impact : un centre dédié à la RSE, un centre dédié au big data et un centre dédié à l’aéronautique et au spatial.
« TBS un jour, TBS toujours »
Autre axe stratégique, la formation continue. « Nous voulons aller plus loin pour accompagner la montée en compétence de nos diplômés grâce à la formation tout au long de la vie. Pour ce faire, nous lançons par exemple le « CFA made by TBS » permettant à tous nos alumni de bénéficier d’un compte de formation à vie. »
Pour les 5 ans à venir, TBS Education souhaite aussi miser sur le « bien-être pédagogique. » « Nous voulons assoir un modèle qui soit un mix inspirant entre des activités en présentiel où l’étudiant est au cœur d’une pédagogie expérientielle active, conjugués avec un campus digital où il peut puiser des contenus en libre accès », indique Stéphanie Lavigne.
Par Clarisse Watine, rédactrice en chef de Monde des Grandes Ecoles et Universités
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