Petites histoires troublantes toulousaines

Petites histoires troublantes toulousaines

La cité toulousaine porte nombre de surnoms faisant référence à son patrimoine historique et culturel riche. Il s’agit de la ville rose en raison de la couleur caractéristique de ses façades : les Romains en arrivant dans la ville en l’an 14 y font fabriquer de nombreuses briqueteries utilisant toutes la « brique romaine », créée en Palestine à Jericho et qui a cette teinte rouge chatoyante. Toulouse, c’est également la cité des violettes, la fleur emblématique, ainsi que la capitale du rugby pour de nombreux fans du stade toulousain. Si cette ville est remplie d’histoire et a été le centre névralgique de royaumes puissants (royaume d’Aquitaine, les Wisigoths…), du commerce ainsi que de la religion avec l’installation des Cathares elle n’en reste pas moins une cité regorgeant de petits mystères. Des bâtiments hantés aux histoires pour le moins troublantes que renferment ses dédales de rues rosées, Toulouse est une ville bien plus effrayante qu’elle n’y parait, même au coin des places les plus prisées par les étudiants !

 

Les morgues de St-Pi

La place St-Pierre est l’endroit des rendez-vous arrosés, des bars blindés et de la cohue estudiantine mais historiquement c’est un quartier qui foisonne de bâtiments dont certains ont un passé mortel. Sur un bout de la place, l’église St-Pierre-des-Cuisines est la plus vieille église de la ville rose, les plus vieux restes architecturaux retrouvés dans son sous-sol datant de la fin de l’Antiquité. Les fouilles archéologiques nous ont montré que le premier bâtiment, sur lequel a été rebâti l’église actuelle sous plusieurs déclinaisons au cours des siècles avait une vocation funéraire et était construite sur un cimetière. A la fin de l’Antiquité, on se réunissait ici afin de commémorer les défunts dont les tombes envahissaient tout l’espace jusqu’au cœur de la nef. Peut-être leurs fantômes rôdent-ils encore près de Chez tonton, qui sait ? Encore plus troublant, mais le quai de la Daurade juste à côté, l’un des trois ports de Toulouse, était un centre de la pêche toulousaine. Cependant, on n’y pêchait pas seulement des poissons ou du sable pour faire du ciment mais également beaucoup de cadavres, les noyades y étant régulières. Ces cadavres étaient alors entreposés dans une petite morgue sur les quais qui aujourd’hui n’est autre que la buvette « pêcheurs des sables » où l’on peut aujourd’hui consommer des verres et des glaces, on imagine en relative sérénité.

 

La basilique St Sernin, dans le sang et l’or

La basilique St Sernin est le plus haut et le plus vaste édifice d’architecture romane de toute l’Europe mais c’est aussi un bâtiment entouré de légendes très anciennes. L’église porte le nom de son saint patron, St Saturnin, premier évêque répertorié de Toulouse, dont la légende raconte qu’il s’agissait d’un martyr. En effet, vers 250 après J.C., des prêtres païens de Toulouse auraient demandé à St Saturnin de sacrifier un taureau sur l’autel, ce qu’il refusa catégoriquement car opposé à ses valeurs profondément chrétiennes. Les prêtres décidèrent donc de l’attacher à la queue d’un taureau qui courut à toute allure dans les rues de la ville, trainant l’évêque en piteux état jusqu’à sa fin affreusement douloureuse. On suppose que l’évènement a eu lieu dans la rue du Taur, qui rejoint la basilique au Capitole. Mais ce n’est pas tout, la basilique cacherait dans ses sous-sols un trésors gaulois d’une valeur inestimable. La légende raconte que la basilique serait construite sur un ancien sanctuaire gaulois qui se trouvait sur les bords d’un lac sacré qui se serait asséché au fil des siècles. Si il n’y a à ce jour aucune preuve que ce lac et le trésor qu’il renferme aient jamais existés, des habitants du quartier autrefois assuraient entendre des bruits d’eau sous leurs habitations. La rénovation prochaine de la façade de la basilique pourrait être l’occasion pour les chasseurs de magot de réveiller leurs espérances.

 

Le petit château de l’horreur

Assez peu connue des Toulousains, cette bâtisse bourgeoise à l’angle de la rue des martyrs de la Libération et des allées Frédéric Mistral a été le théâtre d’horreurs abominables sous l’Occupation. La maison, aujourd’hui appartenant à des propriétaires privés, a abrité de mars 1943 à aout 1944, le siège de la Gestapo à Toulouse. Devant la maison, la seule trace de son macabre et funeste passé est une plaque commémorative en l’hommage des sept résistants donc les dépouilles ont été retrouvées dans le jardin à la Libération. Nombreux sont ceux qui ont été torturés jusqu’à la mort dans ses caves sombres et dont l’exemple le plus connu est celui de François Verdier (vous reconnaitrez une station de métro de la ligne B), chef régional des Mouvements Unis de la Résistance. Il a subi des supplices innommables sur une durée de 43 jours avant d’être exécuté en janvier 1944 dans la forêt de Bouconne.  Ce n’était sûrement pas les seules victimes, puisque la maison aurait eu au moins deux propriétaires avant d’être cédée aux Nazis, dont une famille juive parisienne, très vraisemblablement dénoncée par le second propriétaire pour récupérer la totalité du bien. Dans les années 1990, le bâtiment a été découpé en quatre appartements, mais aucun des habitants du quartier ne saurait dire qui y réside actuellement.

 

Ces quelques exemples montrent Toulouse sous un aspect pas toujours rose mais qui n’en est pas moins intéressant. Pour pleins d’autres détails insolites, n’hésitez pas à visionner les vidéos Balades à Toulouse de la chaîne Youtube de Toulouse Métropole, elles sont pleines de détails croustillants et, on vous rassure, pas tous aussi perturbants que dans cet article !

 

Par Sarah VAUTEY

 

 

 

 

 

Vald, Bon Entendeur, Parc Aquatique… les 4 jours de WEI de TBS enfin révélés !

Vald, Bon Entendeur, Parc Aquatique… les 4 jours de WEI de TBS enfin révélés !

TBS Education, l’école de commerce de Toulouse ouvre ses portes par une semaine d’intégration riche et diversifiée qui se clôture par un WEI de folie.

 

La semaine d’intégration

À TBS, les nouveaux étudiants arrivés en L3 ou en M1 commencent par une semaine d’intégration organisée par la FD (Fédération des associations) et les associations de l’école. Charline Chacun, responsable de l’intégration nous explique comment se déroule cette semaine : « Pour participer aux différents événements, la FD propose aux nouveaux étudiants la TBS box qui leur donne accès aux activités de leur choix, sans frais supplémentaires ».

Cette semaine est incontournable à TBS et permet aux nouveaux étudiants de s’amuser, de s’intégrer, de créer une cohésion au sein de la promo et de commencer à se familiariser avec les différentes associations de l’école. D’après Charline, « Il y a deux choses incontournables pendant l’inté à TBS : les SWAT (Sois Welcome À Toulouse) et la journée d’intégration à Sesquières ». La FD a réuni les associations, ce dimanche, à la base de loisirs de Sesquières pour une journée ensoleillée où les nouveaux intégrés comme les anciens ont pu profiter d’un panel d’activités (Ski nautique, Water Games, bar a cocktails, Bubble foot, combats de sumo, ventriglisse, etc).

L’organisation de cette semaine n’a pas été de tout repos pour les organisateurs qui ont dû s’adapter aux contraintes sanitaires dues à la crise sanitaire. Charline explique : « c’est vraiment cet été que tout a été mis en place ». La crise sanitaire « a poussé les assos à être créatives et à réinventer cette semaine ».

 

Le WEI

Camille Dolande, vice-présidente du BDE et responsable du WEI se confie quant à l’organisation du WEI de TBS.

 

Peux-tu nous dire deux mots sur le WEI de TBS ?

Le WEI à TBS, c’est vraiment le moment fort de l’année ! Il arrive après l’intégration et les fameux SWAT, c’est le moment pour tous ceux qui ne se sont pas encore rencontrés sur le début de l’intégration de se découvrir. Au-delà de l’intégration, c’est aussi là que vont se jouer les recrutements associatifs qui commencent dès le retour du WEI. En résumé, le WEI est l’événement à ne pas louper pour être pleinement investi au sein de l’école et de la vie associative.

 

Quelle est sa particularité ?

Le WEI de TBS, c’est le plus gros WEI de France : 4 jours et 3 nuits, avec 4 guests (Bon Entendeur, VALD et deux invités surprises, pour le plus grand plaisir des TBSiens), des activités pour plaire à tous les participants, la présence et la participation des 31 associations de l’école. Le tout autour d’un thème dans lequel tout le monde peut se retrouver.

 

Depuis combien de temps travailles-tu sur son organisation ?

Pour le vif du sujet, on a commencé à se pencher dessus au mois de mars/avril avec le thème, les activités et surtout les guests !

 

Qu’est ce qui a été le plus compliqué ?

Au niveau de la logistique, cette année était particulièrement compliquée. Nous devions savoir comment organiser la montée dans les bus, préparer des itinéraires pour les sens de circulation, si certaines activités allaient devoir être annulées, comment faire pour le contrôle du pass sanitaire, justement quels documents étaient valides en tant que pass sanitaire, les staffs, gérer le matériel et activités des autres assos, etc. Tout ça était parfois un vrai casse-tête.

Et pour finir, il nous fallait suivre la situation sanitaire de près. Contrairement aux autres années, nous avons signé le contrat assez tard puisque nous n’étions pas sûrs de pouvoir organiser le WEI cette année. Nous avons eu la chance d’avoir le soutien de l’administration de TBS sur notre projet, mais également de La Noche qui a tout fait pour que nous ne soyons pas dans une situation délicate en cas d’annulation suite à une dégradation sanitaire.

 

Nous souhaitons aux étudiants de TBS une bonne intégration !

 

Par Marion AUDY

 

 

 

 

Zoom sur la pluralité de la fédé

Zoom sur la pluralité de la fédé

La Fédération des Associations a pour but global de penser, concrétiser et financer un maximum d’initiatives étudiantes et associatives. Dans cette démarche suite à l’intégration qui a été préparée tout l’été, les recrutements associatifs qui sont bien avancés, il est temps de faire un point sur tous les événements à travers lesquels la fede s’illustre et vous met en avant.

Le rôle de la FD

Tout d’abord, revenons sur le fondement même de l’association. Notre rôle premier est d’accompagner les associations vers la mise en place de leurs événements. On fait la zone tampon avec l’administration, on libère les espaces, fait le lien, fédère aux moments clés et, évidemment, on subventionne. La première subvention de l’année scolaire était à Sesquières, la réunion de presque toutes les associations a été possible grâce au travail estival de la respo Event Charline Chacun. C’était une façon pour tous de commencer à s’intégrer, de découvrir et surtout de profiter de la vie associative tant racontée mais si peu vécue l’année dernière.

Cependant, le pôle event est loin d’avoir fini son année, il a travaillé à fond pour vous faire découvrir l’asso de votre coeur lors du village asso du 23 septembre. De cette façon, on vous a amenés au plus près les associations avec leurs missions qui vont rythmer toute votre vie pendant la prochaine année. Loin de s’arrêter là, les membres du pôle concours vont vous épater lors de l’organisation des futurs concours qui vont permettront de financer vos projets perso et pro. Je ne vais pas tout vous dévoiler, vous aurez tous les détails bientôt… De plus, vous pourrez à nouveau profiter de la fede et de son équipe event lors de la dernière SAT avant les départs en UP, un dernier soir, une dernière danse avant que les M1 les plus anciens s’envolent et laissent les L3 reprendre l’âme de l’école.

Subventionner les assos de TBS

Tout ceci est possible grâce au travail du pôle Partenariat. Il est en charge d’entretenir les relations avec les partenaires de l’association, c’est lui qui vous négocie les taux bancaires, les offres sur le permis, Pumpkin etc… Il est à l’origine de 50% des subventions qui sont reversées aux associations pour leurs projets. Leur travail est essentiel et fondamental pour le bon déroulement de la vie associative et de la vie étudiante. Dans la continuité du pôle partenariat, on trouve le pôle développement. Il est chargé d’élargir la notoriété de la fede dans Toulouse à l’aide de nouveaux partenariats qui sont en partie tournés vers le service à l’étudiant, comme le nettoyage des données de vos réseaux abîmés par les années en école…

Tous ces partenariats ont quand même comme but vital de financer les associations, c’est pour cela que le pôle trésorerie veille sur les versements et les subventions qui sont versés chaque année. Accompagné du pôle Audit qui vérifie que les associations ont les démarchages nécessaires pour organiser leur event, il garantit la vie associative de l’école et des 4 associations rattachées juridiquement à la fédé.

 

Jean-Marc Fédé au rendez-vous

Enfin, le dernier pôle permanent de la fédé est le pôle communication, en charge du groupe admis il est la vitrine de la vie de l’école. Les Jean Marc comme vous les connaissez communiquent sur tous les événements mis en place par l’asso. Ils sont également responsables du site internet et de répondre à toutes les sollicitations extérieures. Le petit dernier et pourtant qui est essentiel c’est le pôle campagne. Il va organiser, arbitrer, rythmer et contrôler le FairPlay des 8 listes qui seront sélectionnées. Kylian et Léa sont les références pour préparer et rythmer ces campagnes 2021 qui seront pour sur incroyable.

En bref, la fédé c’est pluridisciplinaire, polyvalent et au service de l’école et des autres associations. L’asso la plus fun des assos pro est déterminée à vous faire kiffer depuis l’ombre et surtout est là pour tous, tout le temps.

KéaBot, le futur des pharmacies et des influençeurs toulousains !

KéaBot, le futur des pharmacies et des influençeurs toulousains !

RDVC a rencontré Arnaud Mallinger, co-fondateur de KéaBot, application mobile pour trouver un soin de peau personnalisé et adapté à chacun, en partenariat avec des pharmacies locales et proches de chez vous.

 

« Trois clics, deux pas, j’applique ! »

Entreprise toulousaine, KéaBot favorise le commerce de proximité et le développement de l’économie locale. En effet, avant de créer KéaBot, Arnaud explique qu’il a eu l’occasion d’interroger directement des clients de pharmacies et que ces derniers sont souvent perdus face à la très grande offre de produits cosmétiques. C’est pour cela qu’il a voulu aider les utilisateurs de produits cosmétiques au cas par cas et leur assurer des produits de qualité (soins BIO, sans perturbateurs endocriniens et sans ingrédients controversés à impact environnemental néfaste). Avec KéaBot, tout le monde peut trouver sa propre routine de soins et des produits adaptés spécialement à son type de peau. Tout cela est compris avec des explications sur sa physiologie de peau, des conseils sur ses problèmes de peau et donc un traitement personnalisé à chacun. En trois clics, vous pouvez récupérer vos produits dans une pharmacie proche de chez vous, tout en étant assuré de la qualité de ses produits et rassuré quant à votre impact environnemental.

 

Une application éco-responsable et locale

KéaBot s’implique aussi pour le développement de l’économie toulousaine. En effet, l’entreprise explique ne pas vouloir s’associer à des marques, mais bien aux pharmacies locales. Ainsi, KéaBot préserve son indépendance et assure une liberté et autonomie totale aux pharmacies partenaires. De cette façon, les utilisateurs sont réellement placés au coeur des préoccupations de l’entreprise, et non la rentabilité des marques cosmétiques. Ainsi, KéaBot se différencie des applications traditionnelles telles que Yuka, INCI Beauty, ou encore QuelCosmetic qui scannent les produits et donnent leur composition. En effet, ces applications partent d’un produit et, si son score est bon, créent un besoin chez les utilisateurs. A l’inverse, KéaBot part des attentes et besoins des clients et propose ensuite les produits correspondant. Il y a donc un réel gain de temps, puisqu’il n’y a plus besoin de scanner tous les différents produits pour pouvoir faire son choix mais seulement ceux qui nous sont directement conseillés, et de satisfaction client en proposant directement des produits adaptés.

Un avenir Kéaddict

Les témoignages des utilisateurs de KéaBot ne cessent de se multiplier ! Il en ressort que les conseils fournis par l’application sont personnalisés et répondent à un réel besoin de la part des utilisateurs. Ces derniers peuvent, non seulement régler leurs problèmes de peau, mais aussi et surtout comprendre les raisons des réactions de leur peau. L’avenir de KéaBot promet donc d’être très fructueux ! Arnaud Mallinger, co-fondateur de l’entreprise explique « L’application KéaBot est la seule sur le marché français, il n’existe pas d’outil similaire. Et dans quelques mois, notre application proposera de nouvelles fonctionnalités et une offre plus riche pour maintenir notre innovation d’usage. Plus tard, nous proposerons des services supplémentaires côté pharmacien pour l’aider à piloter les nouveaux usages des clients ». Et KéaBot ne s’arrête pas là ! L’entreprise toulousaine continue de se développer pour proposer toujours plus de services à ses utilisateurs : « Il est important de proposer à nos utilisateurs toujours plus de pharmacies à proximité de chez eux. Nous avons ainsi ouvert le dialogue avec plusieurs acteurs du circuit officinal pour développer notre réseau de pharmacies sur le territoire et nous restons à l’écoute de nouvelles propositions. Cet objectif sur les prochains mois va nous permettre d’accélérer notre développement ». De plus, l’entreprise est très présente sur le marché Clean Beauty, marché de niche qui prône une « beauté propre », soit la mise en avant des produits bios de soins et de bien-être. Arnaud précise « Actuellement, nous concentrons notre offre sur la France entière mais le marché du clean beauty est aussi très dynamique en dehors de nos frontières. C’est pourquoi nous nous développerons dans plusieurs pays d’Europe ».

L’équipe toute entière est au plus près des jeunes et de leurs préoccupations concernant leurs problèmes de peau. A travers un chatbot fluide et interactif, chacun pourra trouver des informations et conseils propres à sa peau. Du côté pharmaceutique, KéaBot instaure une nouvelle image moderne des pharmacies : plus jeunes et accessibles en touchant maintenant une nouvelle cible ! Les 18-35 ans se retrouvent ainsi à voir les pharmacies comme un nouveau lieu de click & collect et développent donc une relation de confiance avec leur pharmacie de proximité.

Le développement de la jeune entreprise toulousaine est à suivre de près. De nombreux utilisateurs sont déjà fans et les retours positifs ne cessent d’arriver. Prévenez les Youtubeurs et Influençeurs Instagram, KéaBot fera bientôt parti de leur fil d’actualité !

 

 

Par Elise CASADO

La gourmandise avec TBCook

La gourmandise avec TBCook

TBCook, c’est l’association cuisine de TBS qui rassemble de fins gourmets dont le but est de vous faire rêver à travers des plats tout au long de votre scolarité. Que vous soyez débutant ou expert en la matière, les cuistots de TBCook trouveront de quoi vous ravir. Recettes pompettes, buffets ou encore lives recettes, Gordon et ses petits chefs sauront vous mettre l’eau à la bouche.

 

Gordon TBCook vous accompagne

Mais tout ceci ne peut se faire sans une équipe de choc. C’est pourquoi Gordon a su s’entourer de 4 pôles. Calmez votre faim grâce au pôle Atelier, qui est chargé de concocter “les plats du mois”, des ateliers cuisine et également de super recettes pour que chacun puisse devenir un meilleur chef cuistot. Découvrez les publications du pôle Communication qui a pour but de vous faire saliver devant les recettes exceptionnelles que nos petits chefs ont préparées mais aussi de vous faire la promo de toutes les idées ingénieuses que prépare l’asso. Le pôle Démarchage s’occupe cette année de trouver des partenariats pour financer le premier livre de recettes de TBS. Il se charge aussi de trouver des lots pour les jeux concours. Profitez de ce que le pôle Event nous prépare des événements comme les “Péniches d’intégration” et les dégustations à Sesquières. Il travaille également en collaboration avec le pôle démarchage pour vous organiser des concours.

Gordon aime tout autant les bons plats élaborés que les crêpes classiques ou encore de bons burgers bien gras. Nul besoin d’être un cuisinier de talent pour intégrer la belle brigade de TBCook.

 

 

Par Clément AUGUSTE & Marie-Laure GAGNARD pour TBCook