Pourquoi « c’était mieux avant » ?

Pourquoi « c’était mieux avant » ?

Remémorez-vous les grandes découvertes, avancées de ces vingt dernières années, qu’ont-elles changé dans nos vies ? Difficile de s’en rendre compte tellement tout cela fait partie intégrante de notre quotidien. Beaucoup n’ont jamais vécu sans et d’autres les ont intégrés à leur vie de tous les jours. L’un des premiers exemples qui vient en mémoire sont les avancées technologiques : l’arrivée d’internet, le smartphone…Difficile, dorénavant, de s’en passer. Pourtant, malgré toutes ces avancées qu’elles soient technologiques, médicales ou même plus globalement sociétales, qui tendent à faciliter notre quotidien, beaucoup assurent que « c’était mieux avant ».

 

Une question d’adaptation

Nous avons tous entendu une personne âgée ou un proche raconter avec nostalgie les souvenirs de l’enfance insouciante et dire ô combien c’était mieux à cette époque-là. Les reproches qui sont faits sont souvent, contrairement à maintenant, des souvenirs liés à un mode de vie simple, sans souci du lendemain, dans une époque où les problématiques d’aujourd’hui n’existaient pas. En comparaison avec leur enfance, ou adolescence, les personnes nées dans les années 40-50 ne se sont pas construites de la même façon que les générations des années 70 ou 90. Pas les mêmes problématiques sociétales, les mêmes façons de consommer, de penser, de vivre tout simplement. Comprenez alors qu’une personne à qui on a inculqué une même chose toute sa vie, avec laquelle elle s’est construite, ait du mal à s’adapter à certains changements de la société. Si Internet est une mine d’or qui permet plus que jamais un accès à l’information via un ordinateur ou un smartphone, il reste parfois compliqué à utiliser pour certaines personnes, parce que ce n’est pas toujours intuitif, par manque de pratique, d’habitude ou même de volonté. Certains vivent très bien sans. Cependant, dans notre monde interconnecté, avoir une connexion internet ou un téléphone portable tend à être nécessaire. Les rendez-vous médicaux se font de plus en plus par réservation sur Internet (comme la campagne de vaccination contre le COVID 19), la déclaration des revenus se fait également en ligne, il est alors compliqué de s’adapter. L’on peut également faire le parallèle avec les enjeux sociétaux actuels, et les questions écologiques avec laquelle la jeune génération a grandi : en histoire et en économie est enseignée depuis plusieurs années la notion de développement durable énoncée par Mme Gro Harlen Brundltand, Premier Ministre norvégien « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Emerge alors une sensibilisation des parents et des grands-parents par la jeune génération d’ailleurs mise en avant dans les publicités et notamment celle de Sodastream « t’as entendu parler du plastique qui pollue les océans et puis quand tu portes des packs d’eau, t’insultes toute la terre entière, alors t’attends quoi pour dire stop ?! » 

 

 

Ancré depuis toujours

Pour revenir au « c’était mieux avant », cette nostalgie du passé, est appelée le passéisme et est fondée depuis des centaines d’années dans l’esprit. En témoigne plusieurs poètes : le poète latin Horace (v. 173-174) : « Mille incommodités assiègent le vieillard… Quinteux, râleur, vantant le temps passé, quand il était gosse, toujours à censurer les jeunes… » , Valerius Caton dans ses Poetae minores (v. 178-182.) : « Est-ce ma faute si nous n’en sommes plus à l’âge d’or ? Il m’aurait mieux valu naître alors que la Nature était plus clémente. Ô sort cruel qui m’a fait venir trop tard, fils d’une race déshéritée ! » ; ou encore les lamentations de Juvénal, dans ses Satires (v. 69-70) : « Déjà du temps d’Homère notre race baissait. La terre ne nourrit plus aujourd’hui que des hommes méchants et chétifs ».  Il en est de-même aujourd’hui, on parle des années 80 comme étant la meilleure décennie musicale et tout ce qui est ancien dit « vintage » devient culte alors qu’il paraissait moche et ringard à l’époque, les souvenirs sont embellis. Les tables formica de premier prix reviennent sur le marché et sont très recherchées, les vinyles s’achètent par la jeune génération qui a pourtant accès à de la musique à volonté facilement, gratuitement de leur téléphone, mais investissent dans un tourne-disque. Cette nostalgie du passé devient un principe intégré inconsciemment dans nos mémoires, les entreprises de distribution en jouent pour nous faire consommer (box souvenirs d’objets des années 90, bonbons…) et nous arrivons à être nostalgique de choses que nous n’avons pas connues.

 

 

Comment l’expliquer ?

Selon Serge Ciccotti, docteur en psychologie, nous serions d’avantage affectés par le négatif que le positif, et donc même en présence de nombreuses avancées positives, nous gardons en mémoire celles qui nous déplaisent plus, celles qui nous paraissent les plus insensées.  Cependant, une étude a permis de démontrer que les personnes âgées oublient les choses négatives qu’elles ont vécues plus jeunes, beaucoup plus que les positives. Car lorsqu’il se rend compte que le temps passe et celui qui lui reste à vivre est limité, chacun dirige son attention vers des pensées ou des souvenirs positifs (selon la théorie de la « sélectivité socio-émotive »). Voilà pourquoi ce sont les plus anciennes générations qui sont les plus passéistes et distantes des avancées. Il est également possible de mettre en évidence que l’inconnu fait peur donc on préfère ce que l’on connait déjà, ce que l’on a déjà vécu à une période, il s’agit d’un attachement par stimuli répété : plus nous avons été confrontés à quelque chose (d’effrayant ou non) moins cela nous fait peur, car on l’a déjà expérimenté. Un chercheur a demandé à des volontaires d’estimer le sens du mot qu’ils avaient devant eux (positif ou négatif) alors qu’ils ne comprenaient pas leur signification, car écrit dans une langue qu’ils ne parlaient pas. Au final, les sujets attribuent un sens plus positif aux mots présentés un grand nombre de fois qu’aux mots présentés rarement : il existerait donc un lien entre la fréquence d’exposition aux mots et le sens qu’on leur donne.  Ces études peuvent être rattachées à des éléments concrets du quotidien, notamment les élections présidentielles par exemple. Les personnes âgées se sentiraient davantage en confiance dans des environnements familiers et donc dans les partis politiques généralement conservateurs. Et au final cette nostalgie du passé serait aussi le résultat d’un manque de confiance en l’avenir, tout en espérant qu’il soit meilleur, nous enferme malgré tout, dans des souvenirs réconfortants.

 

 

Et la jeune génération dans tout ça ?

Dans tous les cas, l’Homme est plus ou moins poussé à « vivre avec son temps » s’il ne veut pas se retrouver en marge de la société. Cependant, certains jeunes d’une vingtaine d’année à peine, assurent avoir été heureux de vivre une enfance où la technologie n’était pas encore omniprésente. Ce constat s’applique également aux plus anciennes générations qui avaient déjà ce discours étant plus jeunes en comparant leur enfance avec celles des nouvelles générations il y a plusieurs années. Le schéma se répète alors aujourd’hui, les jeunes, qui ont pourtant très peu de vécu, de « avant », pour dire « c’était mieux avant » le manifestent pourtant. Alors cette expression ne relèverait pas forcément d’une question d’âge, question de génération, de nostalgie du passé ? Mais seulement une période de nostalgie de l’insouciance ? D’où vient-elle ? D’un développement extrêmement rapide de notre société ? Il semblerait que le passéisme des plus jeunes puisse venir d’une peur de l’avenir : d’après une étude réalisée par l’Iniep, le pourcentage des jeunes n’ayant pas confiance en l’avenir ne cesse d’augmenter (38% en 2018) et par conséquent, le taux de personnes optimistes et confiantes baisse (passage de 20 à 7% entre 2017 et 2019). De même, les perceptions que l’on a du monde qui nous entoure changent au fur-et-à-mesure que nous évoluons. L’éducation, la scolarité, l’entourage forgent qui nous devenons, notre perception du monde, de la société et donc nos actions qui en découlent. C’est par exemple le cas des parents, une étude de l’Université de Cornell a montré que « le fait d’avoir un enfant pouvait accentuer le mécanisme du « c’était mieux avant ». Sur les 51 professeurs d’école primaire interrogés sur leur perception du danger dans le monde dans un passé récent, ceux qui étaient devenus parents pendant la période évaluée ont perçu le monde comme sensiblement plus dangereux que les autres professeurs. » La responsabilité d’une autre personne que soi, et d’autant plus un nouveau-né sans défense totalement dépendant, qu’il faut protéger entraine alors davantage de méfiance surtout via quelque chose de nouveau et d’inconnu. Nous adoptons finalement un comportement instinctif et inconscient.

 

 

Une question bien philosophique

« C’était mieux avant » apparait alors comme un sentiment nostalgique commun à toutes les générations ancrées dans notre société, qui s’amplifie avec l’âge et les craintes de l’avenir mais aussi les expériences vécues autant individuelles que collectives. Il faut cependant que ce sentiment passéiste reste subjectif et à replacer dans son contexte et son époque. C’est ce qu’explique Michel Serres philosophe français « Chères Petites Poucettes, chers Petits Poucets, ne le dites pas à vos vieux dont je suis, c’est tellement mieux aujourd’hui : la paix, la longévité, les antalgiques, la paix, la Sécu, la paix, l’alimentation surveillée, la paix, l’hygiène et les soins palliatifs, la paix, ni service militaire ni peine de mort, la paix, le contrat naturel, la paix, les voyages, la paix, le travail allégé, la paix, les communications partagées, la paix… ».

 

 

 

Par Léa MENARD

 

 

 

 

 

 

 

Pain au chocolat ou chocolatine ?

Pain au chocolat ou chocolatine ?

Après une bonne matinée de pêche, je me promenais avec ma petite guitare mexicaine sur le bord de la mer, à quelques kilomètres de mon village. Comme la plupart des villages au bord de mer au Mexique, le mien est assez connu comme un endroit enviable pour la pratique de la pêche de loisir. Ainsi, je venais justement de faire honneur à cette réputation en ayant passé une matinée bien remplie, durant laquelle je me suis occupé à lire, jouer ma guitare et ne rien pêcher.

Il était donc l’heure de la sieste quand j’ai aperçu un radeau qui flottait sur le bord d’un quai. Dans ma famille, on a toujours dit qu’il n’y a rien de mieux pour s’endormir que le va-et-vient des vagues de l’océan. Je me suis donc allongé dessus, mon sombrero sur mon visage pour me protéger du soleil, ma guitare bien accrochée à côté de moi, et je me suis abandonné dans les bras de Morphée.

Imaginez donc ma surprise lorsque je me suis réveillé, quand je me suis retrouvé dans un monde plein de monuments en pierre et où tout le monde semble avoir le nez bouché. Mon radeau, emporté par un courant marin, m’avait déposé au milieu d’une rivière qu’on appelle ici La Garonne. Quelques minutes plus tard, je débarquais sur le Port de la Daurade dans une ville dont la prédominance de la couleur rose m’a émerveillé. Je vais vous raconter, très rapidement, quelques détails intéressants par rapport aux gens qui habitent dans cette ville, où le destin et les courants marins m’ont emmené par pure coïncidence.

 

Le confit de canard

Ma première rencontre de cet étrange séjour fut avec un groupe de jeunes qui se retrouvait à quelques pas du quai où je venais de jeter l’ancre. Même si je ne parlais pas leur langue, je me suis dit que ce serait une bonne opportunité pour connaître des coutumes locales. Mon costume d’étranger a dû bien leur plaire, puisque je me suis fait inviter pour manger une spécialité du pays, dans un restaurant quelques rues plus loin. On m’a donc appris que, dans ce pays qu’on appelle Toulouse, on boit le vin le moins cher et le plus bon que j’ai goûté de ma vie, et on mange du canard, dont on n’a pas voulu me spécifier la préparation et dont le résultat final ne ressemble pas aux canards que j’avais vus dans mon pays, mais qui est tout de même exquis.

 

La bise

Avec ce même groupe de jeunes, j’ai aussi appris que dans cette ville, il est habituel de se dire bonjour en faisant quelque chose qu’ils appellent la bise. Après une courte recherche, on pourrait être emmené à croire que la bise consiste à embrasser l’autre personne sur les deux joues, et c’est bien à ça que ça ressemble. Mais en réalité, il faut être bien attentif puisqu’il ne faut surtout pas embrasser autre chose que l’air autour la joue la personne pour ne pas être pris pour quelqu’un de très bizarre.

Les jours qui suivirent furent remplis d’extase et de nouvelles rencontres. Je suis devenu assez proche de ce groupe. J’ai donc décidé d’intégrer la culture locale, de laisser mon sombrero chez-moi et de sortir dans la rue avec un habit de marin que l’on trouve assez traditionnel dans ce coin du monde.

Étant donné que la Fortune m’avait emmené dans ce nouveau monde, j’ai décidé de chercher un gagne-pain qui me permettait de contribuer dans cette communauté, du moins pendant mon séjour. Avec le temps, j’ai fait de plus en plus de connaissances et j’ai commencé à me constituer un réseau. Par contre, il parait que mes compétences en pêche ne sont pas très appréciées dans ce côté de la planète, surtout quand je ne pêche rien pour des longues saisons. J’ai pourtant trouvé un métier dans une boulangerie de la région pour m’occuper pendant mon séjour.

 

Pain au chocolat ou chocolatine ?

Très inspiré alors par cette nouvelle opportunité, le soir avant mon premier jour de travail, je me suis acheté le livre d’un boulanger assez célèbre pour apprendre les détails les plus importants de mon nouveau métier. Quelle erreur, que de prendre le livre fait pour une région différente ! Si vous aviez vu la tête que la boulangère a faite quand je lui a demandé quelque chose par rapport à un pain au chocolat. Comment aurais-je pu savoir que ce qu’on appelle du pain dans le reste du pays n’était pas vraiment du pain et que ce genre de confusions lexicales avaient le potentiel de causer une guerre civile dans ce territoire ? Tous les pays sont différents, mais je n’avais jamais vu un peuple qui donne une telle importance politique à ce qu’on vend en boulangerie. Je ne me serais jamais attendu au fait que même le président se sente obligé de faire un point sur l’appellation d’une viennoiserie pour apaiser la colère des gens d’une région. Je ne sais pas si les histoires que j’ai entendues jusqu’ici sont vraies, mais quelqu’un m’a dit qu’il y a quelques années, les gens de ce territoire ont apparemment décidé de commencer une saison de décapitations avec leur instrument de prédilection – la guillotine alors – parce qu’une dame assez bien placée avait osé faire une remarque un peu déplacée par rapport à la brioche. Je comprends donc tout à fait leur président qui voudrait évidemment faire le diplomate.

 

Des vacances rémunérées

C’est aussi à ce moment que j’ai découvert la positive relation que ce peuple a avec le travail. Chez-moi, comme il est bien connu, il y a deux choix possibles quand on veut occuper ses journées : soit on devient pêcheur qui ne pêche pas très souvent, soit on fonde une famille et devient l’esclave d’un employeur ; c’est-à-dire qu’on se soumet à neuf heures de travail par jour, six jours par semaine, avec le droit à cinq jours de congés payés par an. Avec un peu de chance et beaucoup de compétences, on peut monter les échelons et devenir l’employeur. Ce n’est pas un mystère pourquoi j’ai choisi la première alternative. Mais imaginez ma surprise dans ce nouveau monde, quand j’ai découvert que dans ce nouveau pays j’avais le droit d’être payé pour partir à la plage pendant plusieurs semaines par an ! Et si jamais je perds mon travail, je toucherai encore des allocations pendant que je m’occupe à pêcher sans rien pêcher pendant une année, le temps que je trouve une autre boulangerie où travailler. Un mélange sublime entre les deux alternatives que l’on propose dans mon pays !

Je comprends mieux pourquoi mes collègues sont tellement contents de cette organisation du travail qu’ils font une parade tous les samedis avec des habits réflecteurs en couleur jaune et avec des instruments de percussion. On m’a évidemment invité à les rejoindre, car les gens avec qui je travaille sont bien gentils, mais cette tradition est trop animée pour mon âme calme. Tout de même, je profite de la parade depuis la fenêtre sécurisée de la boulangerie.

 

Faites bien attention à la prononciation !

Je ne sais pas combien de temps je vais passer cette région avant de reprendre la route sur mon vaisseau et de rentrer au Mexique, mais j’espère que si vous venez, vous pourrez profiter également de toutes les excentricités de cette culture. Si vous passez par ici, faites spécialement attention à la politique de boulangerie, profitez des parades de fin de semaine, et particulièrement dans cette région, faites attention au lexique des viennoiseries. Une petite note, pas très en rapport avec le reste des points ici traités, mais tout de même utile pour les nouveaux : si vous tâchez d’apprendre la langue locale, faites attention à la prononciation et apprenez la surtout la prononciation de la région où vous allez vivre. Ceci est spécialement important si votre langue ne fait pas de différence entre les sons « ou » et « u ». Il m’a fallu dix essais en boulangerie et plusieurs claques des jeunes clientes pour découvrir que « merci beaucoup » ne se prononce pas « merci beau cul » dans la langue assez complexe de ce beau pays. J’espère que ces recommandations vous seront utiles si jamais vous vous réveillez dans un monde différent après la sieste.

 

 

Par Alejandro Avila-Ortiz

Sup d’Oeno : L’association d’œnologie de TBS

Sup d’Oeno : L’association d’œnologie de TBS

Qu’est-ce que Sup d’Oeno ?

Sup d’Oeno c’est l’association d’œnologie de TBS ! Entre dégustations, visite de châteaux et rencontres de professionnels, Sup d’Oeno saura te révéler, à toi amateur ou novice, tous les secrets du vin, de sa conception à sa dégustation. Séparée en différents pôles, tu trouveras forcément ta place dans cette association ! As-tu déjà rêvé de créer ton propre vin ? Le pôle Cuvée est fait pour toi !

Ambitionnes-tu d’organiser un weekend dans une région viticole ? Rejoins le pôle Semivin ! Pendant deux jours, les membres de l’association arpentent une région viticole des plus réputées de France. Au programme : visite de châteaux reconnus, dégustations de grands crus, rencontre de professionnels. Fan de vin mais pas que ? Les pôles démarchage, évent et communication sauront répondre à toutes tes envies !

 

Une Asso aux multiples facettes

Sup d’Oeno, c’est avant tout une association conviviale ! Les membres de Sup d’Oeno se rassemblent régulièrement pour partager et échanger ! Chaque mois, l’association organise une dégustation ! Ils se retrouvent également lors des appartavins. Lors de cet événement, les membres se regroupent dans trois appartements (chacun approvisionné d’un type de vin) pour festoyer !

Mais Sup d’Oeno n’est pas seulement une association festive ! C’est une association où tu pourras en apprendre davantage sur la culture du vin ! Tu rencontreras des professionnels viticoles qui pourront te partager leur connaissance et leur passion pour cette célèbre boisson.

 

La fameuse cuvée Sup d’Oeno

Handicapé par les restrictions sanitaires liées à la crise du Covid-19, Sup d’Oeno reprend du service. La fameuse cuvée Sup d’Oeno prévue pour Octobre prochain vous en mettra plein la vue et surtout plein les papilles ! De la sélection des vignes aux vendanges en passant par le choix et l’assemblage des cépages, les membres de Sup d’Oeno créent leur propre cuvée à l’aide d’un vigneron : La Cuvée Sup d’Oeno !

 

 

 

Retour sur les 4 jours incroyables du WEI de TBS

Retour sur les 4 jours incroyables du WEI de TBS

Le BDE Raptor’boyaux de TBS a tapé fort pendant ces 4 jours de WEI. Bon entendeur, VALD, Palavas mais pas que …. Redouane Bougheraba, Henry Fexa et Hugo tout seul pour un stand-up iconique, une dernière soirée sur la plage, des activités de folie, tout ça dans la joie et la bonne humeur.

 

Un premier jour inoubliable

Après s’être installés dans les bungalows du camping Le Calypso à Torreilles, les membres du BDE (Les Raptors) ont donné rendez-vous aux TBSiens à la piscine pour une grande pool party. Entre baignade, bronzage, toboggans, jacuzzi, ventriglisse, chacun y a trouvé son compte !

17h, les membres du Foyer (Bar de l’école) commencent leur service. La soirée mousse est lancée ! De la musique, des bières qui fusent, des étudiants pleins de mousse, c’est le départ du WEI.

La soirée se poursuit. Place à la traditionnelle ChampagneShower organisée par les membres de Escadrille, la Junior Entreprise de TBS ! Vêtus de leur fameuse veste, les membres d’Escadrille arrosent les TBSiens de Champagne (ou plutôt de Mousseux) pour un moment plus que convivial.

Après une courte pause pendant laquelle les TBSiens ont pu reprendre des forces, la soirée continue ! 21h, les TBSiens se retrouvent du côté de la grande scène. Début de l’Afterwork avec Interface (Association d’électro de TBS) et DJ Pilou aux platines… Rien de mieux pour poursuivre les festivités !

23h, Il était une SAT dans l’ouest ! Peinture, plumes, chapeaux de cow-boys … Voyage assuré pour les TBSiens. Les DJ s’enchainent et c’est DJ Massacre (alias Jean-Loup) qui clôture à des heures tardives ce premier soir.

 

Deuxième jour : riche en émotion et en activités extrêmes

Réveil à 9h. 10h, direction le Parc Aventure. Et non, les Raptors n’ont pas rigolé ! Au programme : Accrobranche, Water Jump, Canyoning pour les plus courageux et les moins fatigués. Journée détente pour les autres.

Retour en bus, petite sieste, dîner et préparation pour la deuxième soirée, autour du thème Gatsby ! Après quelques péripéties dûes aux conditions météorologiques et une installation éclaire par les membres du Foyer (Merci au pôle BTP) et du BDE, les TBSiens se rejoignent sous le chapiteau. Sup d’Oeno (Association d’œnologie de TBS) les a rejoints derrière le bar avec au menu, sangria et cidre !

22h, Début de l’Afterwork et c’est Bon Entendeur qui ouvre le bal et annonce la couleur ! Le célèbre rappeur VALD prend la suite et met le feux au chapiteau. Les TBSiens sont en folie ! Entre Pogos et lancer de verres, les membres d’Hotsoft (Association multimédia de TBS chargée de couvrir le weekend) équipés de leurs caméras et appareils photo ont du mal à se frayer un chemin parmi la foule !

Palavas poursuit, suivie de Thomas Pasco, DJ au Poney Club à Toulouse. Journée extrême par les activités, Soirée extrême par les intempéries ! Et oui, les TBSiens se rappelleront de ce deuxième soir marqué par la pluie et surtout par la boue ! Mais, rien ne les arrête. Que la fête continue !

 

Troisième jour : Plage et détente

Dimanche c’est grasse mat’ ! Réveil à 12h pour les TBSiens. Reprise de force au « brunch » et direction le grand stade pour les Olympiades. Pendant deux heures (une heure en réalité), l’ensemble (une partie) des associations de l’école ont animé des activités pour les nouveaux étudiants. Entre jeux gonflables, balle au prisonnier, tir à la corde, course en sac, les étudiants ont pu mettre en avant leurs compétences sportives, mises à rudes épreuves durant ce week-end ! Les TBSiens ont même eu l’opportunité de gagner un remboursement intégral du WEI grâce à la Roue de la Fortune du Petit Tou (City guide de Toulouse).

15h, Cérémonie des Awards. Mais pas avec n’importe quel présentateur ! C’est Redouane Bougheraba qui décerna les awards aux étudiants ! Accompagné de Henry Fexa et Hugo tout seul, ils ont offert aux TBSiens une heure de stand up où les rires ne s’arrêtèrent plus.

16h, Direction la plage… Pour ce dernier soir, encore une fois, les Raptors ont tapé dans le mile ! Au programme : baignade, bronzage, canoë, paddle, musique, bières-pongs, bières sans pongs … Quoi de mieux ? La Holi Party ? De la couleur, pleins de couleurs, que de la couleur !!

22h, il est temps de rentrer au camping. Les TBSiens se rejoignent devant la scène pour l’OSSAT 117. Dernier moment pour profiter une dernière fois de la musique, tous ensemble !

 

Un BDE au top

L’équipe du BDE, les Raptors ont été au top durant ce WEI. Les restrictions sanitaires liées au Covid-19 les ont empêchés l’année dernière d’organiser les habituelles soirées à tickets, les SAT. Ils ont donc débuté leur mandat par le WEI … Premier évent et pas des moindres pour les Raptors ! L’ensemble des TBSiens ont passé un week-end inoubliable grâce à eux. Merci à vous, les Raptors ! On peut le dire… Vous nous avez vendu du rêve pendant 4 jours.

 

 

 

 

Le trophée des arts en quelques mots

Le trophée des arts en quelques mots

L’association le Trophée Des Arts a pour but d’organiser une compétition artistique inter-écoles qui regroupe plus d’une dizaine d’écoles de commerce, plus de 1 000 étudiants autour d’un événement de 4 jours en Espagne que vous allez créer ! Vous allez devoir gérer le concours en lui-même, mais également l’hébergement dans un hôtel privatisé, les sorties en boîte de nuit, les sponsors et plein d’autres choses… C’est une aventure riche en émotions qui demande un grand investissement ! C’est grâce au dévouement des anciens membres que le Trophée Des Arts se place comme la première compétition artistique étudiante d’Europe !

 

Un concours inter-écoles créatif !

Le concours est composé de plus d’une dizaine d’épreuves en constante évolution selon le mandat et les projets que vous mettrez en place. L’objectif est que tout le monde puisse s’exprimer. Il y a comme épreuves, par exemple, la danse, le théâtre d’improvisation, music concert, art graphique et plein d’autres encore !

L’association est composée de 5 pôles : le pôle évènementiel, communication, relation-écoles, partenariat et trésorerie. Ils sont tous interdépendants ce qui permet de créer une véritable cohésion entre les membres. Alors si tu souhaites évoluer dans le monde de l’art ou de l’événementiel, n’hésite pas ! C’est une bonne première expérience, qui par la polyvalence que tu devras avoir, te permettra d’acquérir une très bonne expérience mais surtout énormément de bons souvenirs !

Si tu as des questions les membres de l’association seront ravis d’y répondre !